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Quelque chose Lyrics[Paroles de "Quelque chose"][Couplet 1]Quelque chose de tendre s'est levéQuelque chose qui nous hante, qui nous plaîtC'est quelque chose qui nous creuse, qui nous fendEt qui nous va comme un gantQuelque chose nous dit que c'est perduQue l'on va s'adorer sans issueEt que l'on va se croquer à belles dentsQuelque chose obstinément, mmh-mmh-mmh[Refrain]Mais quel est donc ce quelque chose ?C'est la question que tous se posentQuel est ce doux quelque chose là ?Quel est ce bijou d'ici-bas ?[Couplet 2]Quelque chose nous transperce comme une lameQuelque chose nous traverse, nous réclameSi l'on perd ce quelque chose en cheminOn est comme réduit à rienEt quelque chose nous chavire, nous retientOui quelque chose nous déchire, nous étreintEt ça nous étreint le cœur et le corpsEncore et puis oui encore, oui encore[Refrain]Mais quel est donc ce quelque chose ?C'est la question que tous se posentQuel est ce doux quelque chose là ?Quel est ce bijou d'ici-bas ?[Pont]Quelque chose nous emporte, nous réveilleQuelque chose comme une sorte de merveilleSi tu croisais quelque chose d'aussi beauIl faut te jeter à l'eau, oui à l'eau[Refrain]Mais quel est donc ce quelque chose ?C'est la question que tous se posentQuel est ce doux quelque chose là ?Quel est ce bijou d'ici-bas ?Mais quel est donc ce quelque chose ?C'est la question que tous se posentQuel est ce doux quelque chose là ?Quel est ce bijou d'ici-bas ?How to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum
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Reçuepar Elizabeth II au château de Windsor en 2008, Carla Bruni garde un excellent souvenir de la souveraine, une femme d’une rare gentillesse sur qui elle ne tarit pas d’éloges. 2 /6. Un
GAME OF STREETS – Si vous êtes très, très fan de Game of Thrones, peut-être devriez-vous déménager dans la petite ville de Kuna, dans l’Idaho. Pourquoi ? Parce que dans un nouveau quartier résidentiel de cette banlieue de Boise, deux rues au moins vont porter le nom de personnages de la saga littéraire il y a aura une Baratheon Avenue et une Rickon Street pour Rickon Stark, l’un des fils de Ned. En attendant, peut-être aussi une Arya Place, une Greyjoy Road, une Jorah Avenue, un Podrick Way, une Sansa Street et un Tyrion Court également approuvés par un comité. C’est une idée de Jesse Hall, ingénieure en génie civil et geek » qui a eu le feu vert de ses supérieurs. BON DÉBARRAS – Séparé depuis plus de cinq ans de son épouse, Danielle Spencer, Russell Crowe organise ce 7 avril date de son anniversaire et de leur anniversaire de leur mariage une vente aux enchères chez Sotheby’s qui lui permettra de régler les frais de l’interminable procédure de divorce et la pension alimentaire. Au total, l’acteur va se débarrasser de 227 objets des accessoires et tenues utilisés dans ses films Gladiator, Les Misérables, Robin des Bois etc., et des effets personnels comme 19 guitares il est aussi musicien, des meubles, des tableaux, 28 montres et même un crâne de dinosaure qu’il a racheté à Leonardo DiCaprio après qu’ils ont bu une bouteille de vodka ! Cette vente pourrait lui rapporter plus d’1 million de dollars. PREMIÈRE – Kim Kardashian a partagé sur Instagram la première photo réunissant sa petite famille au complet soit Kim, son mari Kanye West et leurs trois enfants, North, 4 ans et demi qui fait le signe de la victoire, Saint, 2 ans et demi, et Chicago, 3 mois. Je ne pense pas que vous compreniez à quel point il est difficile de prendre une belle photo de famille. Ça, c’était avant que les trois enfants ne commencent à pleurer. Je pense que j’ai aussi pleuré », a commenté Kim. POUPÉE DE CIRE – Carla Bruni a publié sur Instagram une photo d’elle en combinaison de peintre et guitare à la main, deux hommes la badigeonnant d’une drôle de substance rose saumon. Un étrange travail en cours », a ajouté la chanteuse en commentaire. Lequel ? Non, elle ne refait pas la déco de son appartement, selon le Huffington Post, c’est tout simplement que Carla rejoindra le musée Grévin dans le courant de l’année 2019. Elle y retrouvera son mari, Nicolas Sarkozy, qui avait été immortalisé en cire peu après son élection présidentielle en 2007. MC – Qui sera le maître des cérémonies d’ouverture et de clôture du Festival de Cannes ? Canal + vient de lever le suspense pour cette 71e édition, c’est Edouard Baer qui endossera ce rôle. Le comédien français avait déjà assuré cette tâche en 2008 et 2009. Il succédera à Monica Bellucci. Chaque jour, retrouvez l’essentiel de l’actu des célébrités avec la minute people. —————- À lire aussi Ryan Reynolds répond avec humour à une rumeur de séparation Royal baby le top des prénoms probables et improbables Marc Jacobs a demandé son compagnon en mariage… dans un Chipotle
Lundi1er février au soir sur son compte Instagram, Carla Bruni a publié une nouvelle vidéo musicale. Mais cette fois-ci, elle n’en était pas la star. Sous le regard admiratif de sa mère à En septembre 2012, Sheila fêtait en chansons à l’Olympia ses 50 ans de carrière . Trois ans plus tard, celle qui se présentait comme une petite fille de Français moyens », avec ses couettes et ses jupes à carreaux, souffle ses 70 bougies ce dimanche 16 août. Sans nostalgie, ni aigreur, mais au contraire toujours prête à se lancer dans de nouvelles aventures. 1/29 La chanteuse en 1961 © GAROFALO Jack 2/29 Enjouée, la chanteuse arbore ses célèbres couettes, apprêtée d'un maillot de bain. Ici en 1961 © GAROFALO Jack 3/29 1961 assise sur le plongeoir d'une piscine construite au-dessus d'une petite rivière, près de sa maison de Brunoy © GAROFALO Jack 4/29 Assise sur le rebord de la fenêtre de sa maison de Brunoy, une guitare dans les bras. La chanteuse a 16 ans © GAROFALO Jack 5/29 La chanteuse - ici âgée de 16 ans - s'affiche radieuse dans un studio de radio © GAROFALO Jack 6/29 Ses premiers pas sur scène, ici au Gymnase de Marseille, en 1963 © LE TELLIER Philippe 7/29 Ses premiers pas sur scène, ici dans les coulisses du Gymnase de Marseille, en 1963 © LE TELLIER Philippe 8/29 Dans la chambre de son hôtel, Sheila prend la pose pour Paris Match. Ici en 1963 © LE TELLIER Philippe 9/29 Au piano, dans le salon de son appartement situé à la Porte d'Italie, où elle habitait avec ses parents. Elle était âgé d'à peine 18 ans © GRAGNON François 10/29 Dans son appartement situé à la Porte d'Italie, où elle habitait avec ses parents. Elle était âgé d'à peine 18 ans © GRAGNON François 11/29 Dans son appartement situé à la Porte d'Italie, où elle habitait avec ses parents. Elle était âgé d'à peine 18 ans © GRAGNON François 12/29 Lors d'une journée en mer aux commandes de son bateau en 1965 © HABANS Patrice 13/29 Sheila prend la pose pour Paris Match, en 1965 © HABANS Patrice 14/29 Sheila prend la pose pour Paris Match, en 1967 © GAROFALO Jack 15/29 Séance de peinture dans le salon de son appartement de la Porte d'Italie, à Paris, en 1967 © GAROFALO Jack 16/29 Dans la salle de bain de son appartement de la Porte d'Italie, en 1967 © GAROFALO Jack 17/29 Vêtue de rouge, Sheila joue à la pétanque dans le jardin de la maison de Claude Carrère, entourée des siens. Ici en 1967 © GAROFALO Jack 18/29 Sheila prend la pose pour Paris Match, en 1971 © DEUTSCH Jean-Claude 19/29 Le mariage de Sheila et Ringo, le 13 février 1973 à Paris © COURRIERE Charles 20/29 Ringo et Sheila, le matin de leur nuit de noces à l'hôtel George V, à Paris © COURRIERE Charles 21/29 Avec Ringo en septembre 1973. Le couple pose devant sa maison, à Feucherolles © AUGER Benjamin 22/29 La tête posée sur son mari Ringo. Ici en 1977 © LITRAN Manuel 23/29 Souriante, Sheila prend la pose sur le légendaire Sunset Boulevard, à Hollywood en 1978 © AUGER Benjamin 24/29 Dans les rues de Los Angeles, la chanteuse s'adonne au patin à roulettes, l'une de ses activités fétiches. Ici en 1978 © AUGER Benjamin 25/29 Mai 1978 l'acteur Gene Kelly reçoit la chanteuse chez lui, à Los Angeles © AUGER Benjamin 26/29 En concert au Zénith de Paris en 1985 © LANGE Jacques 27/29 Dans sa propriété de Neuilly, la star prend la pose dans son bain. Ici en 1982 © AUGER Benjamin 28/29 Allongée sur un canapé, l'iconique chanteuse prend la pose. Ici en 1982 © AUGER Benjamin 29/29 Dans sa maison de Feucherolles, à l'ombre d'un arbre aux côtés de ses trois chiens, Plouc, Houps et Fine. Ici en 1993 © TRILLAT Elsa En septembre 2012, Sheila fêtait en chansons à l’Olympia ses 50 ans de carrière . Trois ans plus tard, celle qui se présentait comme une petite fille de Français moyens », avec ses couettes et ses jupes à carreaux, souffle ses 70 bougies ce dimanche 16 août. Sans nostalgie, ni aigreur, mais au contraire toujours prête à se lancer dans de nouvelles aventures. Annie Chancel, rebaptisée Sheila par son producteur et pygmalion, Claude Carrière, arpente toujours les scènes françaises, prépare un nouveau livre sur les secrets de sa forme olympique et a même récemment lancé une ligne de bijoux, S Créations » fabriqués à l’Île Maurice . Dépossédée de la majeure partie de l’argent qu’aurait dû lui rapporter les millions d’albums vendus au cours de sa carrière, exploitée pendant des années par un Claude Carrère omnipotent et sans scrupule, longtemps en conflit avec son fils, Ludovic Sheila, a toujours su retomber sur pieds en restant du côté lumineux de la vie. Au début des années 60, je ressemblais à Titi tombé du nid ! A l’époque, à 16 ans on était encore une jeune adolescente qui ne sait pas comment on embrasse les garçons » confiait-elle à Paris Match en 2012. Mais Sheila n’est plus un petit oiseau fragile. Elle goûte désormais pleinement sa liberté de femme qui a tout vécu et tout vaincu.
Unepassion de la musique qu'il partage avec sa belle-mère Carla Bruni-Sarkozy, et qui aurait pu leur permettre de nouer une relation privilégiée, loin de sa mésentente avec Cécilia Attias
Je m’attendais à une purge de la plus grande espèce. Il en fut ainsi mais mieux encore. Cette soirée en milieu Bi-Bo bien bourgeois aura été riche d’enseignement politique. J’y allais pourtant à recule-talons, appréhendant cette soirée les bras fermés. Ma moitié m’avait entraîné dans quelque guet-apens nocturne à ciel ouvert entre gens arrivées comme il le fallait. Chaque année, avant leur grande transhumance sud-estivale vers des résidences plus secondaires, les gens du cercle s’encanaillaient entre eux à rôtir sur braise quelques merguez avant de se dire adieu. La sauterie était pour certains d’entre eux, le pic de leur année sexuelle. Les retraités, et ceux qui l’étaient presque, avaient beau porter la montre qui brillait comme une vraie et descendre de 4X4 rehaussés en plateforme pétrolière, ils portaient beau le costume Celio et la robe à fleurs. Sur le gazon monotone certifié NF, les jeunes "seniors" déblatéraient perte de pouvoir d’achat, verres de kir et dernier Gps portatif portés en bandoulière. J’eux un moment de flottement devant ce parterre de maladroites mondanités sur fond de Marne au crépuscule. La faute sûrement aux effluves mêlés de parfums pour connaromêtre, je notais que ces dernières écrasaient la concurrence. - Ah non tu es folle ! Répliqua cette épouse. Picard », j’ai plus les moyens. Maintenant, j’envois mon aide à domicile au supermarché. - Au supermarché ! s’effarait l’hôtesse de maison dans son ensemble Gerbirama, originellement conçu pour draper le centre Beaubourg. - Oui au Casino »*. - Ouf ça va ! J’errai désenchanté entre les coupettes de mousseux et les macarons pure imitation Des racines et des ailes » en me morfondant sur le manque d’audace de mon argumentaire anti-sarkozyste. Pire ici, en milieu pré-gériatrique de moyenne banlieue dont le score classique de n’importe quel parti pourvu qu’il ne fut pas de gauche atteignait 85% au deuxième tour de chaque élection, toute tentative de contre-discours à la bonne pensée gouvernementale me vouait, au moins en idée, à me substituer à la dernière merguez dans l’esprit des satisfaits. J’en resta à l’alcool et à quelques sourires. Et puis je dois l’avouer, j’étais assommé par cette semaine de chaleur et d’offensive législative d’un président tirant tout azimut jusqu'au point hallucinogène de choquer Thierry Mariani. Le stagiaire-dictateur avait enchaîné en quelques jours des rafales de mesures unilatérales, liberticides, anti-humaines en un mot totalitaires, au point que cela en était aberrant pour une partie de ses proches, ce qui avouons-le est un signe m’étonnais donc, dans ce G8 de quartier, de la persistance crasse du soutien de la politique gouvernementale actuelle. Pourquoi, l'aiment-ils encore? Question traditionnelle à laquelle je réponds souvent par la drogue. Noyant mes convictions dans la boisson, j’assistais hagard à la polémique du soir relative au parasitisme des chômeurs "si habilement disséqué tu verras dans le dernier dossier du Fig mag". Soudain, pour une banale question de taille de Monte-Cristo, la conversation dériva sur le ridicule montant des retraites respectives**. Il fut vite acquit que, là aussi, c’était la faute aux chômeurs eux-mêmes manipulés par les enseignants à la solde de France 2 et qu’il fallait mettre tout cela en zone de rétention où ils tiendraient compagnie aux sidaïques et que notre argent serait mieux dépenser. Au travers du graillon, s’esquissaient des réponses. Je compris que 1 / Les retraites de ces multi-propriétaires, bailleurs, spéculateurs, assurancés-vie, porteurs de part et gestionnaires avisés, n’étaient parfois que de légers compléments de revenus, type argent de poche. 2 / Eux, si prompt à dénoncer les injustices libérales dont étaient coupables les petites gens, ne se montraient pas peu fier de contourner la loi, eux, les moyens plutôt supérieurs» qui bossaient dur et s’étaient construits eux-même un capital » que dis-je un capital, un royaume merveilleux. Attention, en presque toute légalité. Ils avaient même le sentiment que leur poulain, le président, les encouragerait personnellement s’il savait. D’ailleurs, il le sait. Et ces électeurs pas à plaindre, cons tout terrain mais garantis pointus question fric, savent qu’il sait. Accord tacite de mutuelle pérennité renouvelé chaque quinquennat par un vote. Madame Claude 64 ans, profession épouse de patron de PME, me donna malgré elle, en toute décontraction avec une pointe de vantardise, la réponse définitive. Elle qui avait travaillé en tout et pour tout six ans dans sa vie, à bientôt soixante-cinq et, par un jeu de ruses mesquines dont est friande mon entourage d’un soir, elle allait cumuler une retraite aimable et une rémunération pour emploi fictif grâce aux nouvelles dispositions gouvernementales pour "l’emploi des seniors" qui tombaient à pic. - A trois mois prés, ça marchait pas ! Pouffa t-elle - Joli cadeau d’anniversaire. Répondit l’ Oui et en plus je vais être grand-mère. Malgré l’avalanche des mesures impopulaires des dix derniers jours, j’avais devant moi une belle brochette d’aficionados requinqués par la politique présidentielle de la semaine. Pas un n’avait moins de soixante ans. Et pour les autres, qu’ils soient sans papiers, chômeurs, sdf, précaires, stagiaires, jeunes, de gauche, d’extrême gauche, ceux à enfermer sans justification, pequenauds de province, analphabètes ouvriers ou crétins de smicard ? Quels autres ? Des coupables, c’était certain. Moi aussi, j’étais certain. Finalement grâce à eux, j’avais retrouvé la pèche et des idées bien claires. Quoique que titubant sévère, craignant pour ma crédibilité, je préférais ne pas les exprimer. Cette génération n’en finira jamais de me foutre la gerbe. Inconsciente de tout sauf de son pré carré, de ses fortifications pavillonnaires et de ses petites habitudes rentières, elle ferme les yeux sur l’infamie pour les autres, en se cramponnant à son confort et ses certitudes. Enfin, j’en aurai bien profité, me pétant le ventre de champagne et de gigot. Sachez que le combat sera dur et qu’ils sont tenaces. Sachez qu’ils représentent les deux tiers du vote Sarko, qu’ils sont majoritaires dans le corps électoral et encore plus nombreux en 2012. * Notons quand même que les temps sont durs pour tous. Le Casino » aux yeux d'un petit- bourgeois c’est comme un petit-bourgeois aux yeux d'un riche une infamie. ** dont le niveau moyen individuel équivaut à la louche à sept salaires de stagiaires.
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Abonnez-vous Ce mardi 23 août, à l'occasion du 36e anniversaire de Pierre Sarkozy, Carla Bruni a tenu à adresser un beau message à son beau-fils via son compte Instagram. © Reynaud Julien/APS-Medias/ABACA Très active sur son compte Instagram où elle cumule plus de 600 000 abonnés, Carla Bruni ne manque jamais de souhaiter l’anniversaire de ses proches via ce réseau social. Ainsi, ce mardi 24 août, l’ancienne Première dame a tenu à célébrer les 36 printemps d’une personne qui lui tient particulièrement à cœur Pierre Sarkozy. Né de l’union de Marie-Dominique Culioli et Nicolas Sarkozy, Pierre et Carla Bruni s’entendent à merveille. La preuve, la chanteuse de 53 ans a partagé plusieurs clichés de ce dernier accompagné de la légende suivante Happy birthday mon si cher beau-fils. »Un post accompagné d’une musique leur grande passion commune. Et pour cause, Pierre Sarkozy est un producteur connu sous le pseudonyme de Mosey ». D’ailleurs, les deux artistes ont déjà collaboré puisque le jeune homme a produit un remix d’un titre des Rolling Stones, Miss You, interprétée par Carla Bruni dans son projet French Touch. "J'ai essayé d'oublier l'idée de travailler avec un proche pour ne me concentrer uniquement sur elle Carla en tant qu'artiste. Mais il est vrai que l'avis des personnes que vous aimez compte toujours plus que celui d'un anonyme. Je me sens vraiment fier d'avoir eu la chance de travailler sur ce remix" avait déclaré l’artiste à l’époque. Merci pour ce remix », a de son côté écrit Carla Bruni via sa story Instagram !Lisa Ziane
Parueen 2003, c'est le plus grand succès de Carla Bruni, chanteuse et ancienne première dame de France! La chanson a été certifiée disque d’or, et l’album s Eh, eh, Carla Bruni jouait de la guitare bin-binks, on a acheté les-nôtres et on tire sur eux tiens, tiens, hey Hey, hey, hey, hey, hey, tres, hey, Carla Bruni jouait de la guitare tres Carla Bruni jouait de la guitare, on a acheté les-nôtres et on tire sur eux binks, binks Vive le terrain de shit et d'beuh, vingt kilogrammes dans la citadine Et si t’adhères, dis à ton copain de prendre son bout, vingt-six, bin-binks hey, retiens Carla Bruni jouait de la guitare binks, on a acheté les-nôtres et on tire sur eux tire sur eux Vive le terrain de shit et d'beuh shit et d'beuh, vingt kilogrammes dans la citadine dans la citadine Et si t’adhères, dis à ton copain de prendre son bout ouais, vingt-six ouais J'arrive en full Givenchy, j'prends la moula et arrivederci Et désormais, j'veux, trente mille euros pour le showcase sinon tu verra pas ma tête non, et ça je peux te le jurer la vie d'ma mère RS3, y a les palettes ouais, on baisse la vitre que pour tirer bang, homicide prémédité pow, pas d'associés pow, zéro balances haha Y en a peu qui follow la cadence, là tu sens qu'c'est pas la même qu'avant, non Cette année j'ai fait du papier, ouais, cette année j'ai fait du papier, ouais, tu voudrais savoir combien, moi-même je sais pas, c'est encore en train d'rentrer Tu voudrais savoir combien, moi-même je sais pas, c'est encore en train d'rentrer Connu comme Sinatra, connu comme Claude François, best rappeur français, et ça, quoiqu'il en soit Là j'suis à Saïdia, demain en Guadeloupe, j'me sens partout chez moi, on va t'partouzer toi On sait qu't'es pas comme nous, on va t'partouzer toi, on sait qu't'es pas comme nous On avouera pas devant les porcs non, on vomira pas devant l'apport non On regrettera pas si y a des morts non, on regrettera pas si y a des morts non J'suis dans le coupé sport, faut qu'elle monte sans parler, quitte à tromper son mari Y a que moi qui trouve ça marrant, c'est toute l'histoire de ma vie Et ça fait vingt-trois ans que j'ai porté mes couilles que j'ai porté mes couilles, et ça fait plus d'cinq ans que j'ai pas fumé d'la caille y a que d'la frappe Y a que du jaune crémeux, Lambo' et Ferrari, Enzo, il m'faut les deux, rajoutes un Cayenne ah, je crois qu'il m'faut les trois T'as jamais dealé toi ? T'as jamais volé toi ? T'es bon qu'a regarder, et faire le fou dans ta cité d'merde Faut de j'les serve, que j'retourne compter du vert Ok ok, j'traîne avec les mêmes te-tês que l'époque du Booster MBK Max-T ça retire la béquille, tout pour ratatatata, hey J'suis dans la ue-r, j'suis dans le business dans la ue-r, devant les keufs, j'suis blanc comme neige, j'suis blanc comme zipette encore un meuj, encore un neuj J'suis dans la ue-r, j'suis dans le business dans la ue-r, devant les keufs, j'suis blanc comme neige, j'suis blanc comme zipette encore un meuj, encore un neuj J'suis dans la ue-r, j'suis dans le business dans la ue-r, devant les keufs, j'suis blanc comme neige, j'suis blanc comme zipette encoreun meuj, encore un neuj J'suis dans la ue-r, j'suis dans le business, devant les keufs, hey, hey, hey, hey, hey tres, hey, hey Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
1 Pour Brassens il jouait beaucoup avec des cordes métal. 2- On ne le repetera jamais assez, il faut débuter avec l'instrument qu'on a envie de jouer qu'il s'agisse d'une guitare folk, classique, électrique, ou de la cornemuse irlandaise. Si il est vrai que pour des enfants, une guitare folk est un peu dure en dessous de 12 ans en raison de
Charles Chaplin La ruee vers l'or Ce soir sur arte nous verrons pour cloturer l'annee 2009 un film cultec'est la Ruee Vers l'orEncore un film de Charles Chaplin alias "CHARLOT"Chaque annee nous avons droit a revoir ces films qui sont des films cultes et inoubliables et surtout indemodable avec Charles CHAPLINMack SWAINMalcolm WaiteTom MURRAYGeorgia HALEHenry BERGMANMalcom WAITEBetty MORRISSEYAlbert AUSTINKay Deslys L'histoire se passe au XIXe siècle Il y a la découverte de fabuleux gisements d'or dans le Klondike qui provoque une formidable ruée de prospecteurs. Un aventurier solitaire et malingre, Charlie, affronte une tempête de neige et n'en réchappe qu'en se réfugiant dans la cabane d'un hors-la-loi, Black Larsen. Jim McKay, un autre prospecteur, trouve à son tour asile dans la frêle baraque. Autrement mieux bâti que Charlie, Jim affronte Larsen et prend le dessus. Les trois hommes se résignent à partager le même toit. Dans la ville voisine, où il se rend, Charlie s'éprend d'une entraîneuse, Georgia Esther Isabelle Fuhrman C'est un film réalise par Jaume Collet-Serra coproduit par Joel Silver et Leonardo DiCaprio qui relate l'histoire d'un couple qui, pour agrandir leur petite famille ils ont déjà deux gamins, Kate et John décident d'adopter. c'est un Thriller, Epouvante-horreurIls se rendent dans un orphelinat et voient la jeune Esther 9 jeune Esther vue a l'affiche présente la petite fille modèle. "Isabelle Fuhrman"Mais était-elle vraiment fille modèle du la voir en photo c'est elle est très méchanteEsther a toutes les apparences d'une enfant est un petit génie de la elle est bien étrange, aussi, cette Esther native de Russie… et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle attire les ennuis, dès lors qu'elle vient rejoindre l'existence de son nouveau accidents se multiplient autour d'Esther et ses parents adoptifs vont devoir se rendre à l'évidence de la diabolique du personnage et faire leur propre enquête auprès de l' c'est que c'est une adulte de 34 ans qui se cache sous les traits d'une petite fille, qui essaye de charmer les maris et lorsque ça ne marche pas, elle tue toute la famille. Eva Longoria et Tony Parker chantent Summer Nights Eva Longoria et Tony Parker avec des perruques et costumes des fifties pour tourner un lipdub sur une des chansons de la comédie musicale Grease ! c'est coolLes Longoria-Parker. savent s'amuser. La star de Desperate Housewives et le basketteur ont dévoilé sur internet leur lipdub, réalisé sur Summernights, chanson issue de la comédie musicale Grease. Pour le duo ils se sont déguisés en John Travolta et Olivia Newton-John, couple mythique de l'époque. On les voit entourés de gros bras en cuir et de jolies pépées, à raconter la naissance de leur histoire d'amour à coup de pas chorégraphiés dans les gradins pour les garçons et minauderies pour les filles. Les Parker ont réalisé cette vidéo dans le cadre d'un concours organisé par le basketteur sur son site web. Il propose à ses internautes d'envoyer des vidéos parodiques afin de gagner un voyage à San Antonio et le rencontrer. Des duos comme ça on en veut !!!! C'est kitch, mais ca fait plaisir de voir qu'ils ont le sens de la dérision!! Alfred Hitchcock et le cinema Hitchcock c'est l'ombre d'un génie Cinéma de Ted HaimesCe soir sur ARTE MARDI 29 decembre 2009Vous verrez une émission sur ce grand Hitchcock depuis le début se destinait à une carrière d'ingénieur mais, bien vite, il change d'avis pour intégrer la grande famille du 1920, ses premières tentatives sont plutôt termina malgré tout cette période anglaise sur deux réussites,Les 39 MarchesLa Taverne de la au début de la Seconde Guerre mondial qu'Hitchcock se rendit aux Etats-Unis, où il réalisaRebecca qui lui apporta son premier succès s'enchaînèrent alors sans jamais démentir l'originalité du l'occasion du centenaire de sa naissance, ceux qui le connaissent le mieux le racontent ici, comme sa fille Patricia Hitchcock O'Connell, les acteurs Tippi HedrenJanet LeighNorman LloydA ce jour personne n'a pu remplacer un homme aussi talentueux qu'Alfred Hitchcock Victoire de sebastien X factor Sébastien est grand vainqueur d'X FACTOR 200914 semaines de compétition, X Factor a elu son grand gagnant Sebastien, coatche par Alain Lanty. Il agagne son contrat dans une grande maison de disques. Marie et Sébastien nous ont offert une belle télé-crochet de W9 est arrivé au terme de sa première saison après 14 semaines d'émissions dont 8 en les finalistes de X Factor etaient présentsCécileCharacter SoulGauthier Dymon & FloAnnieGuillaumeCyrielleBasilicIls se ont réunis pour chanter le tube de Wham, Wake me up. Une entrée en matière dynamique et rythmée qui a été l'occasion de se souvenir de certains candidats peut-être déjà oubliés... Marie à chanté 3 titres dont 2 en anglais Hurt de Christina AguileraPoker Face de Lady GagaStone de Fabienne Thibault pour la partie en français. Sébastien a interprété 3 titresJe te promets de Johnny HallydayUnchain My Heart de Robbie WilliamsAngel de Robbie Williams. Alexandre Devoise le présentateur a donc pu annoncer le verdict apporter par le traditionnel huissier de justice, garant de la bonne conduite des votes Sébastien remporte la finale de X Factor ! Sa victoire lui permet de signer un contrat dans une grande maison de disques. Trois hommes et un couffin sur France 2 Trois hommes et un couffin sur france 2 le 28 decembre 2009Un film indemodable de Coline SerreauAvec des acteurs de prestige commeMichel BoujenahRoland GiraudAndré DussollierPhilippine Leroy-BeaulieuDominique LavanantMarthe VillalongaAnnick AlaneJosine ComellasL'histoireTrois amis, des célibataires endurcis et plutôt immatures, héritent» d'un nourrisson et de tous les problèmes qui vont traditionnellement partagent le même goût pour le célibat et l'amour libre». Jacques, qui est steward, doit faire un long séjour à l'étranger. Au dernier moment, il prévient ses amis que quelqu'un va leur remettre un paquet pour lui. Le lendemain, les deux compères ahuris découvrent un bébé sur le pas de leur porte. Bien qu'inexpérimentés, ils se voient contraints de prendre soin de la fillette et de réorganiser leur vie en fonction d'elle. Ils se promettent de demander des comptes à Jacques, dès son retour, mais celui-ci, mis au courant, tombe des nues...Rebondissement, ils se prennent d'affection pour ce bébé La Rafle du Vel' d'Hiv A partir de 18 Mars 2010, vous verrez un film poignant qui retracera le malheur qui a touche 13 000 juifs hommes, femmes et enfants arrêtés par la police française sur ordre nazi les 16 et 17 juillet 1942 à une distribution prestigieuseJean RenoEmanuelle SeignierVous verrez aussi Gad Elmaleh dans un rôle différent de celui de "COCO",dans un film realise par Roselyne Bosch, qui traitera de la tragique rafle du Vel d'Hiv',Regroupés au Vélodrome d'Hiver, ils avaient tous été déportés vers les camps d'extermination événement dramatique avait déjà été porté de nombreuses fois à l'écran, notamment dans le bouleversant Monsieur Klein, de Joseph Losey, tourné en 1976 avec Alain Goldman, le producteur du projet dit Ce film dressera un portrait sans complaisance des collaborateurs, mais sera aussi un film sur les Justes. Ce sera notre Liste de faut qu'il y ait des films tel que celui-la, il faut que le monde se souvienne de cette catastrophe pour qu'elle ne se renouvelle jamaisPour l'histoire, il y a un monument chaque annee pour le souvenir. Florence Foresti Marianne de l'annee La Marianne c'est la figure allégorique de la République avez déjà eu Mireille Mathieu, Brigitte Bardot, Catherine Deneuve, Laetitia Casta qui avaient eu l’honneur de représenter la malgré tout une un sondage de l'annee réalise par TNS-Sofres/Logica pour Europe 1, c'est Florence Foresti qui arrive en tête avec 24 % des est aussi la favorite des hommes, qui ont été 27% à Foresti est en tournée depuis mai dernier avec son spectacle Mother devrait selon les Français succéder à Evelyne Thomas, dernière femme à avoir servi de modèle pour le buste de Marianne, en l’artiste Florence Foresti, les Français ont sollicité leur Première Dame, Carla Bruni, Marianne idéale pour 23% d’entre statut d’artiste, elle a notamment chanté pour Nelson Mandela cette année, et sa distance avec sa fonction, comme lorsqu’elle a "déserté" le sommet du G8 en Italie, expliquent très certainement sa Manaudou, est arrive en deuxième position, ex-aequo avec Carla Bruni. Elle a été sollicitée à 27%.Rama Yade en 4 eme position 22% des Français,Anne Roumanoff, Mylène Farmer, Marianne James, suivent Rama Yade dans ce classement avec respectivement 21%, 17% et 12% des votes des Angeli en 8e position, puis Diam’s, qui a fait un retour fracassant avec son nouvel album SOS, au mois de novembre, marqué par son silence médiatique et sa conversion à l’ avez déjà eu Mireille Mathieu, Brigitte Bardot, Catherine Deneuve, Laetitia Casta qui avaient eu l’honneur de représenter la malgré tout une un sondage de l'annee réalise par TNS-Sofres/Logica pour Europe 1, c'est Florence Foresti qui arrive en tête avec 24 % des est aussi la favorite des hommes, qui ont été 27% à Foresti est en tournée depuis mai dernier avec son spectacle Mother devrait selon les Français succéder à Evelyne Thomas, dernière femme à avoir servi de modèle pour le buste de Marianne, en l’artiste Florence Foresti, les Français ont sollicité leur Première Dame, Carla Bruni, Marianne idéale pour 23% d’entre statut d’artiste, elle a notamment chanté pour Nelson Mandela cette année, et sa distance avec sa fonction, comme lorsqu’elle a "déserté" le sommet du G8 en Italie, expliquent très certainement sa Manaudou, est arrive en deuxième position, ex-aequo avec Carla Bruni. Elle a été sollicitée à 27%.Rama Yade en 4 eme position 22% des Français,Anne Roumanoff, Mylène Farmer, Marianne James, suivent Rama Yade dans ce classement avec respectivement 21%, 17% et 12% des votes des Angeli en 8e position, puis Diam’s, qui a fait un retour fracassant avec son nouvel album SOS, au mois de novembre, marqué par son silence médiatique et sa conversion à l’islam Romy Shneider immortalisee en statue de cire Comme chaque annee nous avons droit a la Trilogie des SISSI avec la Belle Romy ShneiderSISSISISSI IMPERATRICESISSI FACE A SON DESTINVoila maintenant qu'une statue en cire représentant Romy Schneider a été edifiée pour son rôle de Sissi l'impératrice, dans un musée, le 28 mai 2008 à BerlinÉlisabeth de Wittelsbach née duchesse de Bavière, fut impératrice d’Autriche et reine de Hongrie. On l'appelle donc aussi Élisabeth de Bavière ou Élisabeth d’Autriche. Son surnom était Sissi. Fille du duc Maximilien et de la princesse Ludovika de Bavière, Élisabeth de Wittelsbach naquit le 24 décembre 1837 à Munich. Elle grandit l'hiver à Munich et l’été à Possenhofen, dans un petit château situé sur le lac de Starnberg. Elevée dans une absence de manières et de contraintes, elle était passionnée d’équitation, de poésie et de promenades en forêt. En 1853, alors que l’empereur d’Autriche François-Joseph, devait se fiancer avec sa sœur Hélène, il tomba amoureux d’Élisabeth et l’épousa en 1854. Les premières années du mariage auraient été heureuses, donnant au couple deux filles, Sophie et Gisèle, puis un fils, Sissi Leo a gagne la finale de l'ecole des stars Léo est le vainqueur de l'ecole des stars 2009Après un grand casting, ils n'étaient que 32 à avoir été retenu pour participer à cette deuxième saison de l'Ecole des stars, la version junior de La Nouvelle star. Ce soir, ils n'étaient plus que 4 en 8 a offert encore cette année l'Ecole des stars pour notre plus grand plaisirBruno Berbérès est accompagné par Maureen Dor et d'un juré invité. Pour la finale ce fut Tina Arena qui a accepté d'endosser ce chanteuse australienne qui chante "Aller plus haut" etait bien placée pour juger des enfants chanteurs, puisqu'elle-même a été découverte dans une émission équivalente en Australie !Laurie Cholewa a présenté les 4 finalistes de l'Ecole des stars qui ont gagné leur place lors de la demi-finale de la semaine dernière Rémi 12 ansMorgane 10 ansAnne 12 ansLéo 9 ansComme dans les émissions précédentes, chacun a eu l'occasion d'interpréter 2 accompagnée au piano par Flavien Compagnon, l'autre sur une bande a chanté Tombé pour elle de Pascal Obispo,en deuxième titre, Un autre monde de a chante de Joss Stone puis Prendre ta douleur de a chanté les Feuilles Mortes et Memory de Barbra avec son allure de poulbot au sourire coquin, a charmé le jury lors de ses 2 chansons Le temps qui courts d'Alain Chanfort et Heart of glass de délibération, le jury de l'Ecole des stars a décidé de couronner Léo !Il succède donc à Valentin qui avait remporté la première édition de ce remporte un voyage en République Dominicaine pour lui et sa famille. Finale du Grand Duel des Generations Nikos Aliagas sera aux commandes de l'émission du Grand Duel des années 80 sont pour l'instant la génération grande favorite du Grand Duel des Générations sur années 80 affronteront les années vous fera revivre les évènements qui ont marqué le cinéma, la télévision, la mode, les tendances, le sport et la programme, des succès commeLes Ch'tisLa Boumla télé réalité des années 2000,les années provoc des 80'sColucheJean-Jacques GoldmanRenaud et tous les artistes découverts grâce à internet...les années 80 seront représentées par Nikos Aliagas qui recevra Jacky du Jacky Show »,Jean-Luc LahayeLaurent PetitguillaumeVéronique de Villele du célèbre duo Veronique et DavinaJeanne MasZouk Machine et leur Maldon ».Pour les années 2000TitoffJérôme Commandeurproduit par Dany BoonValérie BègueEve Angeli et ses désormais cultes Eve-Angélismes » défendront la génération seront soutenus par Bob Sinclar et son Love Génération », générique de la Star Academy, Pascal Obispo qui interprètera son single déjà double disque d'or Le drapeau » et Daniel Lévi, rendu célèbre dans Les Dix Commandements » avec son énorme tube L'envie d'aimer ». Susan boyle a reçu les voeux de noel de ses fans Susan Boyle a été envahie par les lettres de son fan chanteuse au triple disque de platine a du voir la différence avec ses autres noel ou elle passait Boyle dit!Et ça change quoi ?Le courrier !Comme elle l’a raconté au Mirror, elle en reçoit énormément "Je remercie tout le monde pour leurs gentils messages, cadeaux et tellement de cartes que mon salon en est plein et que je peux à peine atteindre la d’entre elle est tellement spéciale et je les lis encore et encore."Par contre, Susan Boyle qui chante "I Dreamed A Dream", rêve d’un Noël tout simple "Noël est un moment joyeux et cette année je serai avec ma famille et mes amis, à la messe de minuit pour m’en rappeler sa vraie signification".SILENT NIGHT est sa chanson de noel, l'avez-vous écoutée dans son album Edith Piaf chante Exodus Ike Aronowicz,le capitaine de l'Exodus du navire emblématique de l'immigration juive vers la Palestine que la marine britannique avait refoulé en 1947, est mort à 86 ans, a annoncé mercredi 23 décembre le cabinet du président israélien. Né en Allemagne en 1923, Ike Aronowicz, qui avait émigré en Palestine en 1932, "a fait une contribution unique à l'Etat que l'on n'oubliera jamais", a déclaré le président israélien Shimon Pérès dans un cette chanson émouvante par Edith Piaf Sissi face a son destin Tres beau film en trois partiesSissiSissi imperatriceSissi face a son destinDimanche 27 décembre vous verrez sissi face a son destin sur TMC A 20 H 40L'Empire est agité par des révolutionnaires hongrois mécontents de leur rattachement à la Maison d'Autriche. Sissi réussit a convaincre Franz à partir en Hongrie afin de calmer les esprits. Partie très longtemps, elle est, à son retour, gravement malade. Les médecins lui proposent de partir dans un endroit où le climat est chaud. Sissi part pour avoir une chance de guérir... Kim Peek est decede Kim Peek, c'était l'homme qui avait inspiré le personnage incarné par Dustin Hoffman dans le film Rain ManIl est décédé samedi dernierLe film, réalisé par Barry Levinson en 1988, relate l’histoire de Charlie Tom Cruise , un jeune yuppie, forcé de s’occuper de son frère aîné, autiste mais doté de capacités intellectuelles réticent à se rapprocher de nouveau de son frère, Charlie redécouvre sa fibre familiale…Barry Morrow était le scénariste du avait rencontré Kim Peek en 1986, et avait aussitôt décidé d’écrire un script à partir de sa Hoffman prépara son personnage en passant énormément de temps avec lui. Récompensé par un Oscar pour son scénario le film en remporta quatre en tout, Morrow offrit son trophée à Kim Peek était atteint de macrocéphalie une déformation du crâne qui a sans doute provoqué des modifications dans sa structure possédait une mémoire prodigieuse, et était capable de réciter des livres vivait à Salt Lake City Utah et faisait partie de l’Eglise de Jésus-Christ des Saints du dernier jour les Mormons. Frédéric Zeitoun Toutes les chansons ont une histoire le chroniqueur musical de France 2 et parolier Frédéric Zeitoun jouera sur la scène du Trianon à Paris dans "Toutes les chansons ont une histoire" et c'est jusqu'au 31 decembre 2009Avec le pianiste Pierre-Jean Scavino et des comédiens-chanteurs de talent Laurent Conoir et Agnès Pat ', Frédéric Zeitoun conte l'histoire des chansons depuis octobre 2009 au théâtre du Trianon à Paris. Un spectacle adapté de son ouvrage paru en 2000 et qui a conservé le même titre, Toutes les chansons ont une histoire .Frédéric Zeitoun est surtout connu pour ses chroniques dans les émissions matinales de France 2, Télématin et C'est au programme. Tandis qu'il réveille les téléspectateurs de France 2 aux côtés de William Leymergie avec ses nouvelles de la scène musicale, il évoque avec nostalgie les chansons d'antant avec Sophie Davant ensuite. Il est aussi aux commandes sur Télé Mélody de l'émission Melody toutes les chansons ont une histoire sur les mythes de la chanson française Il y a Edith PiafVCharles TrenetTino RossiGeorgesBrassens . Un régal pour les fans des chroniques de Frédéric Zeitoun et de chanson française, à voir tous les soirs à 20h30 sauf le lundi et les 24 et 25 décembre jusqu'au 31 décembre au Trianon à Paris 18e et les dimanches à été de voir Frédéric Zeitoun dans Toutes les chansons ont une histoire Charles Chaplin Les temps modernes Après la diffusion du Dictateur sur Arte voici un petit extrai des temps États-Unis, Scénario Charlie Chaplin. Avec Charlie Chaplin dans le rôle du vagabondPaulette Goddard Bobby BarberChester Conklin Henry BergmanStanley BlystoneRichard AlexanderDes troupeaux de moutons, puis des flots d’ouvriers sortent d’une usine. Charlot fait partie du nombre. Empêtré sur un tapis roulant, il est happé par les rouages d’une énorme “machine à manger”, à laquelle il sert de cobaye. Devenu fou, il court dans toute l’usine pour serrer tout ce qui ressemble à un écrou, y compris les boutons de la robe d’une femme…Pour la petite histoire, ce film fut interdit en Allemagne et en Italie, à cause de la scène où Charlot, un drapeau rouge à la main, mène gaillardement un cortège de manifestants. Sofia Essaïdi Cleopatre sur NRJ12 Enfn une bonne nouvelleLa chaine NRJ12 va proposer le spectacle de la comédie musicale Cléopâtre dont Sofia Essaidi est l'héroïne dans le rôle de la dernière reine d'Egypte depuis plusieurs mois avant son retour sur Essaïdi a réussi à se faire un nom et a obtenu un grand succès grâce à son rôle dans la comédie musicale Cléopâtre la dernière reine d'Egypte. Un spectacle mis en scène par Kamel Ouali. près la Star Academy ils sont toujours restés en contactKamel Ouali a toujours reconnu le talent de Sofia Essaïdi et a tout de suite pensé à elle pour porter les habits de cette avoir parcouru la France pendant plusieurs mois, la comédie musicale sera diffusée pour la première fois à la télévision le 29 décembre prochain à 20h35, NRJ12NRJ12 dit."Costumes hauts en couleurs, décors spectaculaires, chorégraphies aériennes, et casting ambitieux sont la recette de ce spectacle hors-norme", Cléopâtre la dernière reine d'Egypte repartira en tournée dès la mi-janvier. Susan boyle et la rumeur de donner sa voix a un episode de James bond Un succès qui dépasse toutes les espérances"I Dreamed A Dream" s'est vendu à peu près de deux millions d'exemplaires dans le monde et Susan boyle est devenue triple disque de platineSusan Boyle n'en finit pas de faire le buzz sur la la est fois-ci au coeur de nombreuses rumeurs qui disent qu'elle va devenir la chanteuse de la bande-originale du prochain épisode de "James Bond".Le compositeur du célèbre thème du film, Monty Norman, aurait d'ailleurs déclaré à la presse britannique qu'elle serait un choix "formidable" en raison de "l'étendue de sa voix".Un nouveau look depuis son passage à l'émission "Britain's Got Talent", Susan Boyle continue ainsi d'entretenir le buzz autour de sa personne et de son disque, constitué de reprises, et qui se classe comme l'un des meilleurs démarrages de tous les temps pour une artiste de ces reprises, "Wild Horses", morceau des Rolling Stones, a d'ailleurs donné l'idée au groupe de ressortir son morceau, profitant de cette exposition inattendue. La vie heroique avec serge gainsbourg Bientôt vous verrez ddes extraits du très attendu de Serge Gainsbourg la " vie héroïque".C'est un film de Joann Sfar inspiré de la vie du chanteur qui a été le verrez le 20 janvier prochain Gainsbourg, décédé en 1991 était un Provocateur, séducteur et a la foix bourré de talentLa vie héroïque devrait confirmer le statut de légende de l’artiste, auteur de chansons inoubliables, telles que Le Poinçonneur des Lilas, La Javanaise, ou Je t’aime, moi non extraits de ce long métrage signé Joann Sfar, dessinateur et scénariste de bande dessinée de 38 ans, ont été révélés lundi. Ce film-hommage à Lucien Ginsburg, alias Serge Gainsbourg, retrace la vie de l’artiste du Paris occupé des années 1940, alors qu’il portait l’étoile jaune, à son succès international en tant que chanteur et casting du film est impressionnant, à la hauteur des fréquentations de Serge Gainsbourg. Laetitia Casta interprète une sensuelle Brigitte Bardot, Sara Forestier joue France Gall, Mylène Jampanoi Bambou alors qu'Anna Mouglalis campe Juliette Gréco. Et pour interpréter Boris Vian, c'est le chanteur déjanté Philippe Katerine qui a été Gainsbourg la "vie héroïque" rend aussi hommage en musique au chanteur. Il ne s’agit pas d’une comédie musicale, mais les acteurs interprètent eux-mêmes les titres. Les parties chantées ont été particulièrement travaillées par Olivier Daviaud, compositeur et arrangeur, qui a réarrangé tous les titres. Le groupe Dionysos, Philippe Katerine, Emily Loi Brittany Murphy est decedee d'une crise cardiaque Brittany Murphy est decedée ce jour à Los Angeles d'une crise cardiaque. Elle avait 32 ans. c'était une actrice américaine que vous avez vu dans Sin City, 8 Mile ou encore Pour le meilleur et pour le par son mari Simon Monjack, les secours auraient transporté la comédienne à l'hôpital Cedars-Sinai ou Johnny Halliday est hospitalisé. Les médecins n'ont semble-t-il rien pu faire, la jeune femme était déjà sans vie à son Murphy a commencé sa carrière à la télévision en décrochant le premier rôle de la sitcom Drexell's class 1991.Elle a joué dans diverses pubs et séries Frasier, Murphy Brown, Parker Lewis ne perd jamais et Sister, Sister, elle fait ses premiers pas au cinéma dans Family prayers 1993.Son premier succès sur grand écran vient deux ans plus tard, avec la comédie Clueless 1995, adaptation cinéma de la série du même dans Une vie volée 1999, Pas un mot 2001, Spun 2002, le grand public retient surtout ses performances dans Sin City 2005 et 8 Mile 2002.Elle se distingue également dans des comédies romantiques comme Pour le meilleur et pour le rire 2003,Les Ex de mon mec 2004 ou encore Love et ses petits désastres en 2007. En 2006, elle prête sa voix au film d'animation Happy Feet qui, ironie du sort, est diffusé ce dimanche soir sur France 2. Susan boyle sollicitee pour la bande originale de James Bond Avec un succès interplanetaire, Susan boyle La britannique est devenue une star cette année grâce à sa participation à l'émission "Britain's Got Talent".Elle a obtenu grace a sa voix fabuleuse le triple disque de platine en vendant des millions d'exemplaires de son premier album à travers le bonne nouvelle en cache une autre, c'est une nouvelle bonne surprise pour Susan Boyle elle est maintenant présentie pour interpréter la bande originale du prochain James Bond !Le compositeur Monty Norman a déclaré au Sunday Express "Elle a le bon type de voix de grande envergure"Pourquoi pas, elle mérite son succès, elle est géniale cette petit bonne femme Renée Lebas a chante Garde l'Espérance Hatikvah en Français Hymne National Israelien Renée Lebas nous a quitté ce est celle qui a enchanté les auditeurs de RCJ sur la FM tous les matin a l'ouverture de la station avec la chanson,Garde l'Espérance Hatikvah en Français Hymne National Israélien .Elle a habité le quartier de la Bastille, avec ses parents, juifs roumains immigrés en France, avec sa sœur la fin des années 1930, elle se lie d'amitié avec Nathan Korb, futur Francis Lebas a été, dactylo, danseuse, journaliste, avant de remporter en 1937 un radio-crochet organisé par commence comme interprète au cabaret La Conga, rue de la Fontaine. Elle y rencontre Raymond enregistre son premier disque en 1939 et signe un contrat avec Pathé en mai 1940, les nazis sont à par l'occupant, elle se rend en zone se produit à Cannes en 1941, accompagnée sur scène par le pianiste Michel Emer. Il lui compose et écrit "D'l'autre côté de la rue". Paul Misraki lui propose de créer "Insensiblement".En juillet 1942, c'est le drame, sa sœur cadette et son père sont emportés dans la rafle du Vel' d'hiv'. Sur les conseils de Francis Carco elle décide de se réfugier en Suisse à enregistre en 1942 Insensiblement et D'l'autre côté de la rue qu'elle interprète sur les ondes de la radio suisse romande en pensant à la situation en 1943, elle enregistre 14 juillet du célèbre antinazi Gilles Jean-Vilard et la chanson Exil écrite par François Reichenbach qui est lui aussi exilé en la Libération, elle revient en force en est la première à enregistrer un disque dans des studios décide de se produire sur scène à l'ABC et au Théâtre de l'Étoile en 1946. Ensuite on la retrouvera à l'Européen, à L'Alhambra et à s'entoure d'auteurs et de musiciens d'exception. Notamment Norbert Glanzberg et Stern lui composera en 1946 Où es-tu mon amour ? paroles d'Eddy Marnay. Ces mêmes auteur et compositeur feront pour elle la chanson La Fontaine de Varsovie ayant pour thème la crée La Mer de Charles Léo Ferré, encore inconnu en 1948, elle enregistre Elle tourne la chante Charles Aznavour, Jacques Brel, Francis Carco, Francis Lemarque, Boris chansons phare'AccordéonisteD'l'autre côté de la rueInsensiblementJe suis seule ce soirExil14 juilletUn petit bouquet de violettesLa MerOù es-tu mon amour ?La Fontaine de VarsovieIls ont foutu ça dans le journalElle tourne...la terreL'Île Saint-LouisTire l'aiguille demain tu vas te marier ma filleLa Valse des lilasMoi mon ParisSans blagueLa Complainte de la butteMon ami réveille-toiLa Marie VisonMets deux thunes dans l'bastringueHarlemGarde l'espérance sera toujours diffusée tous les matins sur RCJ, personne n'oubliera Rene Lebars Kawards 2010 C'est la deuxieme fois et pour le plaisir des talents en herbe, la marque automobile Ford et NRJ Music Awards organise donc la 11ème édition organisent des Kawards font leur come back, avec une marraine de rêve en la personne de la talentueuse Jenifer qui tient ce rôle pour la seconde précédente c'était Dominique Fidanza avec son titre La place du passager » qui avait été élue sur le net dans la catégorie So Glam »Une fois de plus, les internautes pourront voter pour désigner la voix de demainEt si il y avait un incroyable talent comme Susan BoyleUn vivier de talents inconnus ne demandent qu’à être sous les feux des projecteurs et vivre leur passion a Kawards offrent cette fantastique opportunité à des jeunes artistes en solo ou en groupe,et comme récompense la chance de réaliser un album et de se produire sur 7 décembre 2009 au 20 janvier 2010, votez pour votre artiste préféré sur le site où 4 catégories d’artistes sont représentées Rock Human-ET, Lara Bellerose, Meek, Blue Kiddy Smile, Tiffany Ciely, Little, Jim et the Magic Nyce Project, Teo Moss, Loïc B, Jeremy de Liya, No & Mie, Sarah Eden, voterez pour un artiste dans chacune des 4 catégories et les 4 artistes retenus seront soumis à un jury de professionnels qui n’en gardera qu’ votant pour votre artiste favori, vous pourrez gagner de fabuleux cadeaux et peut-être même une Ford K. Shérifa Luna et Fabienne Carat, seront sur le plateau lors de la révélation des Kawards résultats seront connus le 23 janvier 2010, alors tous à vos votes ! Tous contre le cancer Night For Life aux Arènes de Metz le 30 janvier 2010, aura lieu, la première nuit contre le cancer initié par Matthieu Gauthier, avec des chanteurs de talents qui s'uniront afin de lutter contre ce fléau rongeur qui est le cancerNajoua BelyzelQuentin MosimannOphélie WinterSheryfa LunaLeslieSinikOrelSanHelmut FritzMelissa MCollectif MétisséOcean concert qui sera suivi par un gigantesque dancefloor accueillant notamment les DJs David Vendetta, Cut Killer ou John Louly aka Quentin y a déjà de grands événements nationaux comme le Sidaction ou le Téléthon, mais rien n’est entrepris face au cancer. Pensez-vous ceci juste !Les jeunes ne se sentent pas concernés par la maladie alors qu’elle touche un français sur 2, et qu'un français sur quatre en mourra si rien n’est entrepris» affirme Matthieu Gauthier, Président de l'association Night For For Life c'est une association caritative créée le 28 février 2009, afin de répondre au manque d’implication et de sensibilisation des jeunes face à la première cause de mortalité au monde le cancer. L’association compte répondre à cette problématique par l’organisation d’événements correspondant aux habitudes de consommation de la jeunesse. Des événements et des opérations qui serviront à sensibiliser les jeunes à la maladie, aux facteurs de risque et aux moyens de dépistage, récolter des fonds pour financer des projets destinés à la recherche et à l’amélioration du quotidien des malades et de leurs charte graphique de l’association est composée d’un cœur, scindé en deux parties la partie de gauche type Boule à facette » , symbolisant la fête, la nuit et l’amusement, et la partie de droite type Cœur Rouge » symbolisant la vie et l’espoir. Le tout uni, formant un cœur parfait, représentant l’union entre les deux mondes. La Bataille des Chorales Présentée par Benjamin Castaldi ce fut une émission assez sympa diffusée sur concept5 chorales de vingt personnes, coachées par des chanteurs confirmés de la chanson, se sont affrontées en musique et dans la devra rester uniquement que trois chorales sur 5 à la fin de l’ artiste a effectué un casting en fonction de leur style musical dans une ville de leur choixAmel Bent avec la ville de la CourneuveOphélie Winter de la ville d'UzèsPassi de ParisPatrick Fiori Ajaccioet Danny Brillant Juan les PinsIls étaient tous sûrs de faire partie du trio finale avec la meilleure groupe a interprété plusieurs titres, on a pu entendre les différentes voix de chaque chorale et certains se sont émission peut être un véritable tremplin pour certains qui ont incontestablement du talent et de belles voix, notamment, un jeune garçon dans la chorale de Dany Brillant, Rémy qu'on a déjà vu dans l'émission L’école des Stars » sur Direct 8. Sa voix claire n’est pas passé inaperçu, la preuve est là !On a senti une véritable osmose entre l’artiste et sa l’issue de l’émission, Benjamin Castaldi a ouvert la fameuse enveloppe qui continait le résultat et ce sont les chorales de Patrick FioriDanny BrillantOphélie Winter qui continuent l’ Bent et Passy étaient tous méritants même on ne peux pas faire gagner tout le monde Thomas Dutronc comme un manouche sans guitare Thomas Dutronc est le fils de Françoise Hardy et de Jacques son enfance il a été berce par la musique de ses parents et découvre à l'âge de 17 ans Django Dutronc se prend de passion pour le jazz manouche et apprend à jouer de la guitare, aux côtés de Mathieu 34 ans, il sort son premier album solo, sous le titre"Comme un manouche sans guitare"Un album qui est un hymne aux musiques tziganes et qui a remporté en 2009 la Victoire de la chanson originale lors de la 24e cérémonie des Victoires de la MusiqueThomas Dutronc un chanteur qui est voué a une grande carrière comme des parents. Mimie Mathy en meneuse de revue Mimie Mathy a toujours rêvé d'être une meneuse de revueet c'est Patrick Sabatier qui lui réalisera son rêve sous la supervision d'un oeil de maître, celui de LINE RENAUDL'interprète de Joséphine, Ange Gardien a décidé de mettre de coté son sac a malice afin de vêtir sa robe pailletée de meneuse de revue au Casino de Paris, et de faire une surprise à Patrick Sabatier en assistant à son émission L'aventure sera donc samedi 19 décembre 2009, que Patrick Sabatier proposera une nouvelle édition de L'aventure Laurent Gerra, c'est Mimie Mathy qui a accepté de suivre avec grande confiance Patrick Sabatier dans... une aventure fabuleuse et cette surprise, tout le monde était dans la combine ses collègues, ses amis et même son mari Benoist de l'UNICEF et auteur pour enfants on peut dire qu'elle a plus d'une corde à son arc ! Palais des congrès Romeo et juliette L’œuvre de Shakespeare est toujours aussi présente dans les esprits. Les amants de Vérone font toujours rêver malgré la fin tragique de leur histoire…Les amateurs de ce genre de comédie se réjouissent, la troupe de la Comédie musicale Roméo et Juliette» revient à Paris au Palais des Congrès à partir du 2 février jusqu’au 4 avril comédie musicale a dix ans aujourd’hui, puisqu’elle a vu le jour en 2000, grâce au compositeur et producteur Gérard Presgurvic. Des millions de personnes ont fait le déplacement dans le monde entier pour voir l’une des plus grandes comédies musicales. L’histoire est belle mais triste ; Juliette est née Capulet et Roméo Montaigu, ils s’aiment mais leurs deux familles se vouent une haine terrible… On connait tous la fin. Les amants Roméo et Juliette à Vérone en Italie avec de nouveaux décors, des titres inédits, et une nouvelle distribution au Palais des congrès Suite à une tournée triomphale en Asie du Sud Corée, Taiwan, Séoul, le beau Palais des Congrès à Paris, recevra Roméo joué par Damien SargueJuliette joué par Joy Esther, qui était dans “Belles, Belles, Belles,Mercutio joué par John Eyzen,Benvolio joué parCyril NiccolaïTybalt joué parTom RossIls prendont plaisir à chanter, danser et faire vivre ces personnages légendaires devant vous. Spectacle de grande qualité, un véritable enchantementDes voix sont magnifiques pour des titres pas toujours aisés, le souci de perfection est présent, les artistes sont d’un très haut niveau, les danseurs du chorégrahe Redha sont excellents, il faut le souligner. la troupe sillonnera certaines villes de France à partir de mi-avril 2010. On rit parfois, on pleure mais on passe un très bon moment. a voir sans aucun doute, elle est pas belle la vie !!!! La ferme celebrité Benjamin Castaldi a l'honneur Bonne nouvelle Benji alias Benjamin Castaldi remplacera Christophe Dechavanne dans la troisième édition de La ferme que de changements ! alors que l’émission n’est même pas encore à l’ de Secret story Benjamin Castaldi sera donc aux commandes de l'émission, effectivement il a accepté la mission et il devrait donc assurer primes et quotidiennes début a l'habitude, et il le fera a elle pas belle la vie !!! 50 Cent que pensez-vous d'un duo avec Susan Boyle 50 Cent se dit impressionné par la voix sublime de l'artiste britannique SUSAN rappeur américain 50 cent souhaiterait enregistrer un morceau avec elle et en faire un BOyle ne laisse personne finaliste de Britain's got talent Susan Boyle a vraiment est sur des chapeaux de roues !Son album I dreamed a dream se vend comme des petits pains à la boulangerie et elle compte des millions de fans à travers le parmi ces derniers fans le rappeur 50 Cent dit que c'est une star des plus vient même de faire savoir qu'il souhaitait avoir une collaboration musicale avec l'artiste écossaise de 48 a une voix incroyable et ensemble on pourrait faire danser n'importe toujours envie de faire plein de trucs nouveaux, et elle est cool !Je vais tacher de lui faire savoir !",A-t-il raconté avec enthousiasme au Daily le rappeur américain 50 cent qui vient de sortir son nouvel albumBefore I Self Destruct, nul doute qu'il s'agira d'un tube ferions un hit ensemble, c'est certain !J'aimerais vraiment qu'elle pose sa voix sur l'une de mes instruments. Nous ferions un tabac ! " , assure 50 Cent. Cela a le mérite d'être clair !On attend avec impatience et curiosité d'entendre ce mélange des genres naturellement, si elle le veut bien Les basilic sur le fil du rasoir X FACTOR 2009 les basilic ont ete sur le fil du rasoir, et c'est Alain Lanty qui a eu son dernier mot pour les laisser en lice pour la c'est donc hier soir, sur W9, avec Alexandre Devoise aux commandes de cette émission, que nous avons découvert des candidats nettement plus à l’aise que lors des premiers primes. Julie Zenatti Pour les moins de 25 ans qui a conservé ses trois candidats Cyrielle, Marie et GuillaumeAlain Lanty pour les plus de 25 ans avec le talentueux Sébastien,Marc Cerrone les groupes, garde quant à lui les Basilic. Tous ont eu à défendre deux très beaux titres a chanté Osez Joséphine d’Alain Bashung et le second titre de son choixLike a Hobo de Charlie Winston. Cyrielle s’est embarquée sur Objection » de Shakira, touchante sur J’envoie valser » de Zazie. On peut penser également a Olivia Ruiz .Elle a obtenu les compliments du jury. Sébastien, sur une chanson émouvante Lettre à France » de Michel Polnareff,Pour le second titre Kiss choix risqué, il s’est accompagné à la du public et du jury. Alain Lanty reconnaît en lui un artiste, avec qui il souhaite collaborer musicalement par la suite. Les BasilicSweet Dreams d’Eurythmics ont le feu dans le public. Against all odds de Phil Collins était un moment d’émotion et de douceur intenses. Le jury est scotché ! Marie sûre d’elle par rapport à la semaine dernière avecSuperbus de Radio song, et Toxic de Britney Spears Avant la clôture des votes, nous avons le plaisir de retrouver Amel Bent, venue interpréter Où je vais , single extrait de son album du même titre. Le résultat des votes place était en ballotage Le groupe les Basilic et le beau deux ont interprété un titre,Wonder Wall de Oasis pour GuillaumeHelp a capella pour les Basilic. Julie vote pour Guillaume, Marc Cerrone pour son groupe et Marc Lanty, indécis tranche finalement en faveur des Basilic ! La barre est très haute cette année et tous les candidats sont excellents !Il devient très compliqué de les départager… Ils ne sont plus que 4, qui possède ce petit X qui peut faire la différence,Qui remportera X FACTOR ? Les basilic Des primes de plus en plus difficiles, des chansons de plus en plus difficiles, et les Basilic sont toujours Factor surW9 jouait une carte périlleuse en faisant chanter aux candidats des chansons hors de leurs capacités fois-ci, les basilic on chanté Blame it on the Boogie des Jackson Five et aussi ACAPELLA !On aime ou on aime pas mais le groupe des basilic a osé !Les basilic ont-ils le X FACTOR !!!!C’est Basilic peuvent-ils arriver a la ligne d'arrivée comme une course dans un champ de course du PMU, se détacheront-ils du peleton final !!!!!Les basilic sont digne des grands et même refaire revivre des chansons de Tom JonesAvec une petite leçon de fantaisie, ce groupe fera certainement partie des grands. Malika Menard Miss france Miss France 2010 va commencer sa vie sera ce jour en duplex de Nice au journal de TF1 avec Claire France 2010 fera part certainement de ses premières impressions dans ce journal, a part les journaliste qui ont du la bombarder de questions après son élection Malika Menard interviendra en duplex d’un hôtel de Nice, ville où a eu lieu, hier soir, la cérémonie des Miss France, animée par Jean-Pierre Foucault et Geneviève de ratez pas le réveil de notre nouvelle miss nationale dès 13h sur TF1 !Mais a-t-elle dormie !!!!!!! Malika Ménard est Miss Normandie, Chloé Mortaud a remis Le titre de Miss France 2010 aMalika Menard MISS NORMANDIE qui l'a remporté..C'est sur un medley de Michael Jackson que commença la soirée une chorégraphie endiablée sur Thriller, comme un hommage au roi de la Menard réside à Caen, elle est en troisième année de droit et rêve d’être atouts des yeux azur, un sourire éclatant, une tête bien faite, un corps parfait, une peau magnifique et une allure de mannequin 1m76.Ses points à améliorer vaincre sa timidité naturelle ! Jean-Paul Gaultier et Maréva Galanter, ex Miss France, on été très absorbés à partager leurs commentaires. Arielle Dombasle une véritable naïade !et Robbie Williams un véritable enchantementSur le site officiel de l’élection, elle etait en tête, de très loin, du nombre de votes et du nombre de commentaires.. Susan boyle au top des ventes C'est un record absolu pour l'écossaise Susan album s'est vendu comme des petits pains a la millions d'exemplairesI dreamed a dream c'est son premier album et ne sera pas le le 28 novembre 2009, il s'est classé directement n°1 des charts dans six pays du monde !Susan boyle lors de l'émission GOT BRITAIN'S TALENT avait suscité un engouement quasi Boyle agé de 48 printemps avait explosé les audiencesPremièrement, par sa voix incroyable, mais également parce qu'elle représentait, à elle seule, la réussite de "monsieur et madame tout le monde".D'une façon emue, la chanteuse à déclaré"Je me sens très humble de voir qu'autant de personnes peuvent faire preuve d'autant d'amour pour je les en remercie. J'ai eu un peu veux continuer à rendre les gens heureux, et surtout que ça ne finisse pas".Il est fort à parier que l'aventure Susan Boyle ne s'arrêtera pas de si tôt. Pourquoi Susan Boyle n'a pas chanté mon beau sapin et petit papa noel a moins qu'elle chante toujours la chanson de Tino Rossi Miss France 2010 Ce soir sur TF1, vous allez vivre en direct l'émission des MIss France 2010Et c'est toujours présenté par l'illustre Jean-Pierre Foucault et Geneviève de Fontenay, en direct de Nice, que cette soirée sera a l'honneur, haute en couleurs défendue par de magnifiques jeunes femmes élues Miss de leurs régions respectives. Au rendez-vous de la beauté et de l’élégance ce seront 37 Miss vont concourir pour remporter le titre de Miss France 2010 mais une seule succèdera à la jolie Miss France 2009 Chloé Mortaud. Elles seront 37, 12 et enfin 5 et défileront dans des tenues différentes, du maillot de bain à la robe du soir sur de jolies chorégraphies devant le public, un jury d’invités prestigieux entre autres Arielle Dombasle, Jean-Luc Reichmann, Xavier Deluc et les téléspectateurs pourront voter tout au long de la soirée et élire celle qui retiendra le plus l' attention par son physique, son charme ou sa façon de parler. Une Miss doit aussi être belle et intelligente et non "SOIS BELLE ET TAIS TOI" , et savoir s’exprimer en qui remportera ce titre si convoité et qui durera une année, sera comblée de cadeaux ainsi que ses dauphines. comme une Voiture, des bijoux, voyages, 1 an de coiffure dans un beau salon Robbie Williams sera le plateau pour nous présenter son nouveau single Bodies ». Comedie musicale NINE L'actrice Marion Cotillard a obtenu l'un des rôles principaux de la comédie musicale Nine, aux côtés de la belle Penelope Cruz et la belle Nicole Cotillard un succès indiscutable depuis son rôle dans le film sur la vie d'Edith Piaf La Môme .Hollywood lui a tendu les bras et elle a obtenu l'Oscar de la meilleure a joué avec Johnny Depp le mari de Vanessa Paradis dans le film Public sera aux côtés de Penelope Cruz et Nicole Kidman, Sophia LorenFergie pousse la chansonnette, avec derrière elle une douzaine de danseurs, elle fait aussi un léger strip-tease ! Normal, puisqu’elle joue dans le film le rôle d’une prostituée... dans comédie musicale réalisée par Rob Marshall, l'homme qui a réalisé Chicago, film aux six rôle de Marion Cotillard sera l'une des femmes qui ont compté pour Guido Contini. Un metteur en scène en pleine crise de la quarantaine interprété par Daniel sommet de sa gloire, il se retrouve tiraillé entre toutes les femmes de sa vie son épouse, sa maîtresse, sa muse, sa confidente et même sa danse et comédie ce film qui rappelle l'ère verrez bientôt Nine sur les écrans français le 10 février 2010
  1. Խባе ևвса ሷ
    1. Жևсሞጿен заλիդ ረаሤоմюሥ
    2. Фу ше щιчθ
    3. Ηа ሃաλօπасምփህ τо мեтит
  2. Хрαсле оմብхрጶжок ոпивιψጷ
CarlaBruni, très créative en matière de musique, aime particulièrement reprendre à sa sauce des chansons mythiques. Cette fois-ci, elle a choisi de chanter à la guitare sur Instagram, un
Jean-Louis Bergheaud dit Murat est né en 1952 en Auvergne la date exacte et le lieu varient au gré des interviews. Il est élevé par ses grands-parents dans une ferme près de Murat-le-Quaire, petit village du Massif du Sancy qui lui inspirera son nom d'artiste. De cette enfance passée au contact de la nature et des animaux, il conserve une fascination pour le monde paysan dont il célébrera la vie et les traditions tout au long des ses disques. Ayant un talent pour la musique, le jeune Jean-Louis peaufine son art à l'harmonie municipale puis à la classe de cuivre du conservatoire. Grâce à un professeur d'anglais, il découvre la soul et le jazz, rencontre des icônes du blues comme T-Bone Walker, Memphis Slim et John Lee Hooker puis se prend de passion pour la littérature à travers Wilde, Gide ou Nabokov. Les fondations de l'oeuvre à venir se mettent en place. Son bac en poche, Jean-Louis décide de partir sur les routes de France et d'Europe. Après avoir exercé plusieurs petits boulots à Avoriaz puis sur la côte d'Azur, il regagne son bercail auvergnat en 1977, décidé à se consacrer entièrement à la musique. Avec des amis clermontois, il forme le groupe Clara au sein duquel il chante et joue du saxophone. En dépit du soutien de William Sheller, intrigué par ses premières compositions, la formation ne laisse pas un souvenir impérissable. Il faut attendre 1981 pour que Murat publie un premier 45T qui est boudé par les médias en raison de la noirceur du texte. Dans la foulée, deux albums "Murat" et "Passions privées" sortent dans le commerce. Mais les ventes ne dépassent pas le cap des 2 000 exemplaires. La maison de disque EMI mécontente, le contrat de Murat est rompu en 1984. Les années "Virgin" 87-98 A l'issue de 3 années de doutes et d'errances, Virgin France lui offre un nouveau départ. Un 45T voit le jour en 1987 "Si je devais manquer de toi" lui permet d'obtenir la reconnaissance du public et de la critique. "Cheyenne Autumn", un album bourré de tubes "L'Ange Déchu", "Te garder près de moi" … s'écoule à plus de 100 000 exemplaires. La carrière de Jean-Louis Murat est remise sur les rails. Avec l'album suivant, "Le manteau de pluie" 1991, le style Murat s'affine guitares minimalistes sur nappes de synthé, le tout relevé par la frappe métronomique du batteur Neil Conti Prefab Sprout. La qualité des nouvelles compositions "Col de la Croix-Morand", "Le Lien défait", "Cours dire aux hommes faibles" vaut à l'Auvergnat l'éloge de l'ensemble de la presse musicale tandis qu'un duo avec Mylène Farmer "Regrets"est mal accueilli par les fans purs et durs. Enregistré en 6 jours dans une ferme du Puy de Dôme, "Vénus", le cru 1993, reflète le culte que voue JLM à Neil Young et à son Crazy Horse. A l'occasion de la sortie de l'album, l'Auvergnat se lance dans une tournée marathon de plusieurs mois, entouré par 6 musiciens. Les concerts dévoilent un Jurat homme de scène, distillant son spleen à l'aide de sa six-cordes devant des spectateurs envoûtés. Cette série de concerts permet également à Jurat d'obtenir un premier rôle au cinéma celui d'un chanteur avec le tournage du film de Pascale Bailly, "Mademoiselle Personne", qui ne sera jamais distribué. En vue de préparer l'album suivant, Jean-Louis s'exile à Londres pendant l'été 1995. Tim Simenon producteur-remixeur de Bomb The Bass, Depeche Mode, Simple Minds l'initie au logiciel Pro-Tools et aux différentes techniques de sample. "Dolores" voit le jour en septembre 1996. Même si les singles "Fort Alamo", "Le train bleu", "A quoi tu rêves ?" ne deviennent pas les succès espérés, Murat reste un chanteur-auteur-compositeur admiré et respecté. Il est même considéré comme le parrain de la nouvelle scène musicale française incarnée par Silvain Vanot, Dominique A ou Miossec. Avec la tournée "Live in Dolores" 97-98, JLM devient réalisateur. Il filme plusieurs court-métrages destinés à être projetés pendant les shows. Au cours de cette nouvelle série de concerts, Murat à la guitare acoustique et Clavaizolle son fidèle collaborateur aux claviers livrent des versions étirées et minimalistes des chansons de "Dolores". Les années "Labels" 99-05 Murat connaît une phase de créativité intense au printemps 1999. Il embarque pour les Etats-Unis afin d'y enregistrer ses nouvelles chansons. A New-York il fait connaissance avec le guitariste Marc Ribot et avec Jennifer Charles, la chanteuse d'Elysian Fields. A Tucson Arizona, il rencontre le groupe Calexico, espoir du rock indé Tous participent au très réussi "Mustango", un nouvel opus aux accents folk-rock. "Jim", "Au Mont Sans-Souci" ou "Polly-Jean" hommage à PJ Harvey deviennent instantanément des classiques du répertoire Muratien. Depuis octobre 1999, Murat et ses 3 musiciens sillonnent l'hexagone et aussi la Belgique, la Suisse et le Quebec avec le "Mustango Tour". En concert, Murat élargit sa palette de sons et d'ambiances avec des guitares plus brutales, des claviers moins tempérés ses chansons sont tour à tour techno "Belgrade", "Washington", noisy Nu dans la crevasse et son final qui n'est pas sans rappeler My Bloody Valentine ou pop minimaliste "Polly Jean". Loin du bruitisme de la scène techno, Murat crée son propre langage, fruit du bidouillage synthétique et de l'expérimentation. "Muragostang", sorti en octobre 2000, est le témoignage sur CD de cette tournée. Jamais là où on l’attend, JLM surprend une nouvelle fois son monde en publiant au printemps 2001 un album mi-folk, mi-baroque, fruit de la découverte sur le marché de Clermont des œuvres complètes d’une poétesse oubliée du XVIIème siècle. La comédienne Isabelle Huppert prête sa voix à "Madame Deshoulières" sur fond de d’instruments baroques luths, clavecins et violes de Gambe mélangés aux sonorités plus contemporaines des guitares et autres orgues mini-moog. Un documentaire avec Claire Denis sur la musique égyptienne, un disque avec Jean-Louis Trintignant, la mise en musique de 12 poèmes d’Isabelle Ledoeuf , une jeune inconnue habitant Marseille … les projets parallèles se multiplient sans hélas voir le jour. Fin 2001, Bernard Lenoir passe en boucle dans son émission l’album "Golden couillas" en téléchargement sur pochade musicale signée par un nouveau groupe auvergnat, les Rancheros, sorte de Crazy Horse laid-back puisant son inspiration du côté de Licence IV. Le groupe est mené par un certain Mornac, nouvelle incarnation - selon certains- de l’homme du Col de la Croix-Morand. A ce jour le mystère reste entier … Quand il ne fait pas de la peinture, comme un dingue » et jusqu’à plus d’heure, JLM pose les jalons de son prochain album qu’il souhaite d’abord enregistrer en Egypte, puis dans plusieurs capitales européennes, avant de se décider à partir pour Memphis afin de travailler dans les règles de l’art du r’n’b. Le drame du 11 septembre vient contrarier cette dernière option. Finalement Murat se retranche dans un studio de la côte landaise où il convoque Fred Jimenez basse emprunté au groupe de Bertrand Burgalat et Jean-Marc Butty batterie, collaborateur de PJ Harvey. En un temps record, le trio couche sur bande l’essentiel du "Moujik et sa femme", disque conçu selon un "dogme" que ne renierait pas Lars Von trier une chanson apprise, répétée et enregistrée en deux trois prises live maximum ». Le 4 avril 2002, Murat étrenne sa nouvelle formation scénique à l'Espace Michel Berger de Sannois. Le concert marque le début d'une nouvelle ère pour l'auvergnat il joue désormais en trio, accompagné d'un bassiste, Fred Jimenez, son nouveau sparring partner » et d'un batteur, Jean-Marc Butty qui sera remplacé plus tard par Stéphane Reynaud. Le public découvre un tout nouveau Murat, de plus en plus à l'aise derrière sa Telecaster, lâchant des notes saturées et des solos déchirés sur des versions allongées de "Jim", "Foule Romaine" ou "Si je devais manquer de toi". A partir du "Moujik Tour", JLM et ses musiciens jouent quasiment chaque année, enchaînant les concerts quasiment au rythme du Never Ending Tour de Bob Dylan. Au cours de cette même année 2002, Murat offre au groupe Indochine la chanson "Un singe en hiver" qui clôt l'album "Paradize". Mais il faut donner un successeur au "Moujik". Ce sera "Lilith", double album roboratif de 23 titres enregistré en 2003 aux studios Capitol à St Ouen. Des accords rugissants des "Jours du Jaguar" à la poésie désabusée de "L'absence de vraie vie" en passant par les arrangements délicats de cordes de "Se mettre aux anges", Lilith impressionne par sa richesse, sa variété et son inspiration. Pour beaucoup, il s'agit du chef d'oeuvre de la deuxième période », amorcée au moment de "Mustango". Le public ne s'y trompe pas, le disque s'écoule à 85 000 exemplaires notamment grâce au coup de pouce promotionnel du clip du "Cri du Papillon" qui met en scène Jean-Louis et Aure Atika dans un camping-car sur une route menant au Servière. A la télévision, Murat devient un bon client », toujours prompt à brocarder ses camarades chanteurs lors des interviews promo. Murat profite d'une pause dans la tournée "Lilith" pour enregistrer de nouvelles chansons. Plutôt que de les publier sur disque, il a l'idée d'un DVD , sorte de documentaire live » autour des nouvelles sessions. Le film en noir et blanc, "Parfum d'Accacia au Jardin", est tourné en une journée par le réalisateur Don Kent dans le cadre intimiste du studio Guillaume Tell de Suresnes. C'est l'occasion de découvrir une autre facette du chanteur, concentré sur son chant, ses guitares ou son piano et de constater l'efficacité de la section rythmique stabilisée autour de Jimenez et Reynaud. La chanteuse Camille qui avait déjà participé aux choeurs de "Lilith" est également invitée à joindre sa voix à celle de JLM sur quelques titres. Les chansons du DVD viennent enrichir la deuxième partie de la tournée "Lilith" qui s'achève en mars 2004 par un concert à la Maison de la Radio, dans le cadre des Black Sessions de Bernard Lenoir. Mais ce soir là, pas de direct sur l'antenne de France Inter. Quelques semaines plus tard, Murat accepte la diffusion de 6 titres qu'il a remixés lui-même. Les auditeurs découvrent alors des versions étirées sur plus de 10 minutes de "L'âme qu'on nous arrache", "Les Jours du Jaguar", ou "La petite idée derrière la tête". Une partie des fans crie au génie. L'autre commence à décrocher. Murat sent qu'il va devoir à nouveau se réinventer. Publié un an après "Lilith" et seulement 6 mois après "Parfum", l'album suivant, "A bird on a poire", fait figure d'ovni dans la discographie muratienne. Sur la pochette, les noms de Fred Jimenez et de Jennifer Charles sont accolés à celui Jean-Louis Murat. Il s'agit d'un projet collectif dans lequel la composition de toutes les musiques a été déléguée au fidèle bassiste et où la chanteuse d'Elysian Fields mêle son joli timbre à la voix de JLM. Les musiques qui lorgnent vers la pop des années 60 et la légèreté des textes signés Bergheaud fournissent à l'ensemble une fraicheur et un charme inédit. L'album bénéficie d'un excellent accueil par la critique et donne lieu à une brève série de concerts ponctuée par une résidence » au Café de la danse au cours de laquelle Jennifer chant et Albin de la Simone claviers se joignent au power trio ». Il ne faut pas attendre plus de 6 mois pour voir arriver dans les bacs l'album "Moscou". Labels, la maison de disque a du mal a tenir un tel rythme et la promotion, bâclée, ne permet pas de hisser les ventes à un niveau satisfaisant. Pourtant "Moscou" ne manque pas d'atouts. Le premier single radio, "Ce que tu désires", est un duo avec Carla Bruni, auréolée par le succès de son premier album, "Quelqu'un m'a dit". Les autres compositions, le plus souvent des balades mid-tempo comme "La fille du capitaine" inspirée par une vision de Moscou en flammes , "Foulard rouge" ou "L’almanach amoureux" sont parmi les plus solides de son répertoire. Mais l'ensemble, sans doute trop long, manque aussi de cohérence. Car au milieu des chansons originales, Murat a choisi de faire figurer 3 reprises du chansonnier Pierre-Jean de Béranger, découvert en parcourant la correspondance de Pouchkine. 11 autres textes de Béranger, mis en musique et enregistrés par Murat, sont rassemblé sur l'album "1829" et publiés un mois après "Moscou" dans une certaine indifférence. JLM ne renonce pas pour autant à reprendre le chemin des salles de concert. Un album live est enregistré à Schiltigheim afin d'immortaliser la Tournée "Moscou". Il reste inédit à ce jour. Les années "V2" 06-11 Murat s'accorde une pause. Il faut attendre la rentrée 2006 pour découvrir 12 nouveaux morceaux à tendance blues-rock. "Taormina" s'annonce sous le signe du renouveau nouveau contrat avec le label V2 qui assure désormais la distribution de ses albums au passage Murat devient son propre producteur, nouvel ingénieur du son Ayméric Létoquart succède à Stéphane Prin qui avait avait assuré toutes les prises de son depuis "Le Moujik" et surtout, nouvelles méthodes de travail la crise du disque se faisant sentir, l'album est conçu de manière artisanale à la maison », en Auvergne. Murat renouvelle l'expérience avec "Tristan" 2008 dans lequel il joue - c'est une première - de tous les instruments guitares, basse, batterie, claviers, mandoline, bouzouki, accordéon, saxophone … Plus épuré que les précédents, "Tristan" trouve son inspiration à la fois dans les légendes celtes Murat avait prévu de partir pour l'Irlande afin d'y enregistrer un disque entier consacré à Tristan et Iseult et la poésie galante du Moyen-âge. En travaillant chez lui, Jean-Louis peut voir grandir ses deux jeunes enfants, Justine et Gaspard. Ces deux disques sont chacun suivis par une tournée. En formule quatuor pour "Taormina" un clavier vient enrichir le power trio » et en formule solo pour "Tristan". A l'occasion des concerts solo », Murat revisite à la guitare acoustique 12 cordes, quelques anciennes chansons comme "Brûle-moi" 1996, "Ami Amour Amant" 1999, "Royal-Cadet" 2002 et lève un coin du voile sur l'avenir avec une première ébauche de "Comme un incendie". Entre les deux tournées, Murat trouve le temps d'enregistrer un nouveau projet parallèle, "Charles et Léo" dans lequel il interprète des poèmes de Charles Baudelaire sur des arrangements musicaux écrits par Léo Ferré. Les fans apprécient l'ambiance de ce disque qui rappelle à la fois "Le Manteau de pluie" et "Dolorès" grâce à la présence aux claviers de l'ancien complice Denis Clavaizolle. De plus en plus sollicité par le monde du cinéma, Murat compose les musiques originales de "Coupable" sorti en salle en 2008 et de "Petite Fille" diffusé sur France 3 en 2011 réalisés par Lætitia Masson ainsi que de "Pauline et François" 2010, un premier film de Renaud Fely mettant en scène Laura Smet. Seuls trois morceaux dont le classique "Pauline à Cheval" issus de la bande originale du film de Fely sont publiés sous la forme d'un EP digital. "Dieu des Amours" écrit pour Coupable sort officiellement en 2008 … mais dans une version chantée par Isabelle Boulay. Début septembre 2009, quelques blogueurs sont invités au studio Davout à une présentation live du 17eme album. Ils découvrent des versions épurées de 11 chansons qui sont commercialisées quelques jours plus tard. Une décennie après "Mustango", "Le cours ordinaire des choses" est une nouvelle échappée américaine en compagnie de la crème des musiciens de Nashville qui apportent des tonalités folk, rock ou country aux nouvelles Chansons un documentaire accompagnant le disque propose un aperçu des sessions d'enregistrement. "Lady of Orcival", "Taïga", "La mésange bleue" ... Murat égraine ses sujets favoris l'Auvergne, les femmes, l'attrait pour le sacré ... sur fond de guitares slide et de cordes savamment arrangées. La tournée 2010 est marquée par le retour apprécié de Denis Clavaizolle. Grâce à l'alchimie parfaite entre les claviers et la section rythmique, Murat livre ses meilleures prestations depuis le "Mustango Tour", notamment un Bataclan d'une intensité émotionnelle rare » selon les spectateurs. Beaucoup se mettent alors à rêver d'une nouvelle collaboration en studio Murat/Clavaizolle. Mais Jean-Louis a d'autres idées en tête et Denis, producteur recherché depuis le succès de l'album de Coccon, doit mettre la dernière main au disque posthume de Bashung, sa version de "L'homme à tête de chou" créée pour le spectacle du chorégraphe Jean-Claude Gallotte. Déçu par les ventes du "Cours ordinaire des choses" et ayant de plus en plus de difficultés à s'autofinancer, JLM annonce à qui veut l'entendre qu'il a décidé d'arrêter d'enregistrer des disques. Mais à la rentrée 2011, il dévoile un clip, "Vendre les prés", mêlant paysages ruraux, scènes de labeur agricole et paysans de tous âges portraitisés à la manière de Depardon. La chanson est un avant-goût de "Grand lièvre", capté » en quelques jours dans un studio du sud de la France avec Fred, Stéphane et un nouveau venu, Slim Batteux, un clavieriste spécialiste de la langue Sioux. Sur deux chansons, "Sans pitié pour le cheval" et "Rémi est mort ainsi", Murat-Bergheaud ouvre son écriture au thème de la guerre qu'il n'avait encore jamais abordé. La tournée fait escale le 20 juin à Clermont-Ferrand où Murat, comme chaque année à la même période, joue au profit de l 'association humanitaire Clermauvergne ». Pour les 10 ans de ces concerts Koloko », il revisite » un ancien album, "Passions Privées" 1984. C'est la première fois qu'il se prête à cet exercice. Les années PIAS » 12- Sur le front discographique, 2012 est une année calme. Les admirateurs les plus insatiables doivent se contenter de "La Prière du soir" et de "L'idée" qui viennent d'ajouter aux dizaines d'inédits proposés en streaming sur le site depuis 1998. "L'idée" fait partie de la bande originale de "The End, etc ", un projet transmédia autour du thème de l'engagement, réalisé une nouvelle fois par Laetitia Masson. Murat offre également une chanson à Nolwenn Leroy, "Sur mes lèvres". En fin d'année, PIAS, le nouveau label, commence à distiller les infos sur le 19ème album studio. Il a un titre, "Toboggan", un single avant coureur, "Over & Over", et une pochette, portrait de l'artiste coiffé d'un chapeau de paille, à vélo sur une route de campagne. JL troubadour », esprit des Cathares », terre d'Oc », Fleet Foxes » … Marie Audigier, la manageuse, poursuit le teasing sur son mur Facebook. Le public découvre les courbes musicales de "Toboggan" le 25 mars 2013.
CarlaBruni fête les 9 ans de sa fille Giulia avec d'adorables images. La chanteuse a partagé sur sa page Instagram une vidéo et des photos montrant sa petite Giulia à l'occasion de son 9e
Carla Bruni a publié lundi une vidéo où on peut la voir guitare en main, en train d'accompagner en musique sa fille Giulia, chanteuse en herbe de talent. Telle mère, telle fille. La petite Giulia Sarkozy n'a pas encore 10 ans -elle les fêtera en octobre prochain- qu'elle montre déjà un talent certain pour le chant. Lundi 1er février 2021, Carla Bruni a surpris ses abonnés Instagram en partageant sur son fil une nouvelle vidéo. Dans la séquence, l'artiste franco-italienne est vue guitare en main, jouant le morceau de Sia Snowman». Sa fille Giulia se tient face à elle, dos à la caméra tenue par Nicolas Sarkozy, et chante dans un anglais impeccable. Surtout, la fillette dévoile un timbre de voix épatant. Quelle joie de t’accompagner quand tu chantes mon amour...», a écrit Carla Bruni, fière. "Elle a une voix merveilleuse..."Dans les commentaires, anonymes et personnalités ont laissé un message, tous subjugués par le duo. La rédactrice en chef du magazine Vogue» Emmanuelle Alt a convenu que la petite Giulia chante divinement bien». Ce à quoi l'interprète du dernier album éponyme Carla Bruni» paru en octobre 2020 a répondu que sa fille avait voix merveilleuse...». La suite après cette publicité Ce mardi, Carla Bruni et Nicolas Sarkozy célèbrent par ailleurs leur treizième anniversaire de mariage. Toujours sur Instagram, la chanteuse a posté un message pour leurs noces de muguet. 13 ans de mariage aujourd’hui... merci mon amour nicolassarkozy», a-t-elle écrit. La suite après cette publicité A lire aussi Carla Bruni présente Rêve, le nouveau membre de sa famille BruniTedeschi, de la saga à la telenovela. De l'entreprise familiale à l'empire industriel du pneu. trois générations de grande bourgeoisie turinoise, mélomane, avec parfum de scandales. par

NationalitéitalienneDate de naissance23/12/1968Signe AstroCapricorneMétierMannequin Personnalité du prénom Carla BioCarla Bruni voit le jour en 1968, en Italie, dans une famille fortunée. Dès son plus jeune âge, elle est sensibilisée à la musique par ses parents. Son père, un industriel est également compositeur d’opéra et sa mère est pianiste et actrice. Sa sœur aînée est l’actrice et réalisatrice Valeria Bruni Tedeschi. En 1973, par crainte des Brigades Rouges, sa famille fuit l’Italie et s’installe à Paris. Carla Bruni passe sa jeunesse dans des pensionnats en Suisse et en France, tout en prenant des cours de guitare et de piano. Elle suit ensuite des études d’art et d’architecture à Paris qu’elle abandonne pour se consacrer au mannequinat. Elle signe son premier contrat avec la marque Guess et enchaîne ensuite les séances photos et les défilés pour les plus grands créateurs Dior, Givenchy, Yves Saint Laurent, Chanel et Christian Lacroix pour ne citer qu’eux. Cependant Carla Bruni quitte le monde de la mode en 1997 pour se consacrer à sa première passion la musique. Elle écrit un album pour Julien Clerc et sort son premier album en 2002, sous la direction de son ami Louis Bertignac Quelqu’un m’a dit ». Ce sera un énorme succès. Cinq ans plus tard, la chanteuse prend le pari risqué de sortir un album en anglais avec des textes tirés de poèmes d’auteurs anglo-saxons comme Emily Dickinson. No Promises » rencontre cette fois un succès mitigé, beaucoup de critiques le jugent trop élitiste. Côté vie privée, la presse lui a prêté de nombreuses relations, notamment avec Eric Clapton, Mick Jagger ou Charles Berling. En 1999, Carla Bruni quitte l’intellectuel Jean Paul Enthoven avec qui elle vit pour partager la vie de son fils, Raphaël Enthoven. Ensemble, ils ont un enfant, Aurélien, né en 2001. Le couple se sépare en 2005 et deux ans plus tard, Carla Bruni apparaît dans les journaux en compagnie de Nicolas Sarkozy, alors Président de la République. En 2008, quelques mois après leur rencontre, le couple se marie à l’Elysée et la belle Italienne devient Française par naturalisation. Néanmoins, la nouvelle première dame de France décide de poursuivre sa carrière dans la musique. Elle sort, en juillet 2008, Comme si de rien n’était », troisième album dont tous les bénéfices seront reversés à la Fondation de France. La même année, Carla Bruni-Sarkozy, très engagée dans la lutte contre le VIH, maladie dont est décédé son frère, devient ambassadrice mondiale du Fonds mondial contre le Sida. En 2009, elle crée la Fondation Carla Bruni – Sarkozy destinée à promouvoir l’accès à la culture et à la connaissance pour tous. Alors que la préparation aux Présidentielles 2012 est dans tous les esprits, Carla Bruni est une femme épanouie en mai 2011, sort le film de Woody Allen Midnight in Paris » dans lequel elle a tourné et le 19 octobre 2011, elle donne naissance à son second enfant, une petite Giulia. L’année suivante, Carla Bruni-Sarkozy quitte l’Elysée suite à la non-réélection de son mari, pour revenir à une vie plus tranquille et a publié au printemps 2013, son quatrième album Little French Songs ».Lire plusSes dernières news 18 août 15 août 28 juillet 26 juillet 16 juillet 15 juillet 7 juillet 24 juin 20 juin 15 juin 14 juin 7 juin 3 juin 24 mai 23 mai 21 mai 29 mars 12 mars 1 mars 1 mars 1234567891020

NINHO« Putana » extrait de « Destin », disponible partout ici: En concert le 12 mars 2020 à l’AccorHotels Arena : http://bit. 1. Hélène et les garçons Parce que les cheveux longs, la guitare, et les chansons douces… 2. Châteauvallon Que c’était sympa ce Dallas à la française »… De l’amour, de la trahison, du meurtre, de l’argent, du scandale. Ça se passe comme ça aussi à l’Elysée, non ? 3. Gossip Girl Carla aurait été parfaite dans le rôle d’Eleanor Waldorf, la maman de Blair. Comme elle, elle aime la mode, et comme elle, elle a épousé un avocat de petite taille…. 4. Ma sorcière bien-aimée Carla résoudrait le problème du chômage et des retraites rien qu’en remuant le bout de son nez. Et puis, Marisa, sa maman, ferait une super Endora sauf qu’en vrai, belle-maman adore son gendre. 5. Glee A la chorale du Lycée McKinley, on a chanté du Beyoncé, du Madonna et du Lady Gaga ; Olivia Newton-John est venue en personne, et pour la prochaine saison, on attend Britney Spears et Jennifer Lopez de pied ferme. Du Carla – en live – , c’est la victoire assurée à la finale nationale ! PS On avait bien pensé à un petit 6. Nip/Tuck. Mais on a eu peur que ce soit mal pris Dites-nous, qu’est-ce que vous n’aimez pas chez vous ? . PS 2 Sa chanson Ballade at Thirty-five a été entendue dans The L Word ; L’amoureuse a été jouée dans Chuck. PS 3 Carla actrice, ce sera dans le prochain film de Woody Allen.
carlabruni l'amoureuse, Samedi 27 novembre, en concert à Antibes, Carla Bruni a interprété la chanson Salut marin, en hommage à son frère Virginio, décédé i
Mon Raymond, il a tout bon,C'est d'la valeur authentique,Pour franchir le RubiconOn peut pas dire qu'il hésiteMon Raymond, il est canon,C'est d'la bombe atomiqueQuand il déboule non de non,L'air en devient en devient électriqueOuiMon Raymond il est complexeSentimental mais tactiqueMon Raymond reste dans l'axeEn toute situation Raymond, c'est lui l'patron,C'est lui qui tient la boutiqueEt bien qu'il porte une cravateMon Raymond est un pirateMon Raymond est un pirateOuiIl prend tout à l'abordageComme s'il y jouait sa vieComme s'il y jouait sa peauComme si le monde était beauIl dit qu'la vie est un gageQu'il faut la vivre deboutOu bien la vivre à genouxVraiment rien n'le décourageNonVraiment rien n'le décourageNon, non, nonMon Raymond il a du talentPour séduire tout genre de cliqueQuand il cause c'est saisissantLes confusions se dissipentC''est qu'il sait causer RaymondIl manie la dialectiqueQuoiqu'en disent les bouffonsRaymond c'est d'la dynamiteOuaisRaymond c'est d'la dynamiteOuaisMon Raymond il vient d'ailleursEt personne n'a ses manièresNi de dire ni de faireNi de goûter au bonheurMon Raymond il est uniqueAvec ses yeux de mésangeAvec ses airs de métèqueHongrois juif de SaloniqueQuelques fois Raymond se taitIl lui vient comme une tristesseOn sent qu'il aimerait croquerQuelques miettes de tendresseOn sent qu'il aimerait s'promenerEt quitter ses forteressesOn sent qu'il aimerait goûterA quelques douceurs terrestresA quelques douceurs terrestresEt Raymond voilà pour toiQuelques rondes et quelques crochesQuelques rimes de mon choixDouces et chaudes comme une briocheQuelque chose me dit RaymondQue malgré tous les honneursEt puis ta belle situationTu dois manquer de douceursAlors voici ma chansonMa chanson pour toi RaymondMa chanson pour toi RaymondMa chanson pour toi Raymond
3 Lous and The Yakuza, tha Supreme, Mara Sattei - Dilemme (remix) 4-Dabs - Narcos 5-Ninho-Zipette 6-Izzy-S - 24/7 Feat. de "Macaroni" ft. Ninho] / Partie 1 / [Intro : Leto] / Nask / TripleNBeat / La rue c'est épuisant, rom-pom-pom, c'est abusé / La rue c'est épuisant, rom-pom-pom, c'est Vous trouverez ci-dessous les paroles , la vidéo musicale et la traduction
In Rainbows » en CD, ou Radiohead réel » Après-demain, 31 décembre, belle date de la nouvelle économie du disque et de ses déjà vieilles hypocrisies In Rainbows sort en CD. Il y a quelques semaines, les confrères interviewant Radiohead jouaient les étonnés. N’avait-on pas juré que l’album serait diffusé uniquement sur internet à un prix fixé librement par les acheteurs » c'est-à-dire, bien souvent, rien et en une version vinyle à tirage limité et à prix fort ?A sa conférence de presse avant son concert à l’Olympia, le 22 octobre, Paul McCartney avait lâché une petite vacherie sur cette manière singulière de brader une œuvre au plus grand nombre et de tondre le fan le plus fidèle. Il sait de quoi il parle depuis toujours enfin, depuis OK Computer, Thom Yorke et ses petits camarades savent comme personne tondre le fan, notamment avec ces rafales de singles qui ne se différencient les uns des autres que par un titre live, un mix alternatif ou une nuance de couleur de la pochette. On a beaucoup daubé sur la fine nuance entre relation privilégiée avec la fanbase » et racket des gogos ». Un symbole ? Ce concert sinistre à Saint-Denis avec l’immense espace réservé devant la scène, sous le chapiteau, pour les invités et les membres du fan club, et quarante mètres plus loin, les payants qui se collaient aux maintenant que l’on parle avec une gourmandise goulue de ce revirement. Citons Les Inrockuptibles. Joseph Ghosn, tout ravi …quel que soit le format ou la manière de l’acheter, un album demeure avant tout cela un moment de musique qui nécessite un investissement financier, affectif de la part de son auditeur. » Thom Yorke Nous n’aimions vraiment pas l’idée de travailler si dur sur un album et que les gens qui aiment la musique ne puissent pas en posséder un exemplaire, comme nos autres disques. » Ah ben voilà de belles vérités. Et si les internautes avaient décidé massivement de payer 30 livres à chaque téléchargement, en serait-on à enfoncer si bellement des portes ouvertes ? Une irrésistible irruption du réel face à l’effort de se concilier le monde virtuel. Une démonstration de réalité, en somme, passablement humiliante si l’on relit quelques-uns des papier de début octobre…Donc voici maintenant la session de rattrapage pour les finances de Radiohead avec la sortie du disque physique » en magasins, encore une fois à l’envers de la morale affichée par le groupe. Mais c’est une bonne occasion pour les fans les plus fidèles de dépenser leur argent. Ce sont eux qui auront payé le plus cher le disque sur internet, puis qui auront commandé l’édition de luxe mise en vente avant l’annonce de la sortie en magasins normaux », puis qui l’achètent maintenant en CD. Hail to the thieves ! Le bilan de l’année, délectable quadrature du cercle Le bilan d’une année ? C’est toujours une bonne question, quoiqu’évidemment piégée, aussi insoluble que délectable, aussi vaine que passionnante, aussi inévitable que dérisoire. Je ne sais, par exemple, ce que je vais raconter à qui me demande mon avis. Polnareff parce que nous avons été plus d’un million à le voir en concert ? La fin des Rita Mitsouko tels que nous les connaissions et tels qu’ils ont bouleversé la donne dans la musique en France ?Mais, autrement, tous les poids lourds de l’année Christophe Willem, Dany Brillant, Vanessa Paradis, Johnny Hallyday, Florent Pagny ont certes été vraiment imposants, mais rien qui m’ait épaté, à part peut-être Zazie ou Etienne Daho – mais ils ont surtout été nécessaires parce que plus Zazie et plus Daho que jamais. Faut-il toujours une révolution, au demeurant ? Le plus important doit-il être un départ ? Les couronnements d’Emily Loizeau youpi !, de Rose ah bon et de Renan Luce youpi ! qui ont pris le Grand Rex ou l’Olympia, c’est un vrai plaisir, même si les albums sont parus l’an dernier. Pourtant, j’ai l’impression qu’on a plus parlé de Dalida, Piaf et Barbara pour des raisons commémoratives et commerciales que des nouveautés du paysage. Et la femme de l’année serait-elle, alors, Marion Cotillard ?Interminables dilemmes entre l’éclairage sur un pari d’avenir Bastien Lucas, king of 2007 et le reflet de l’actualité sensible Constance Verluca, Babet, Ours ?, entre la pertinence de masse mi-chel ! mi-chel ! et le feuilletage des dictionnaires futurs le dernier concert de Salvador, entre le consensus critique-public Vanessa et M, le couplet de l’année et les bons coups commerciaux le dancing de Dany Brillant… En plus, je ne me souviens pas de tout ce pour quoi j’ai voté aux victoires de la musique. L’heureux adieu d’Henri Salvador Jolie soirée d’adieux d’Henri Salvador, plutôt joyeuse et légère, hier soir au Palais des Congrès. Au-delà du miracle de la longévité, au-delà du miracle de ces années de seconde carrière depuis Chambre avec vue, il y a le charme immarcescible d’une esthétique diablement cohérente. La douceur du crooner, le swing du jazzman, les éclats de voix du chanteur de rhythm’n’blues, tout est sur la même ligne. Le Blues du dentiste, Dans mon île, Syracuse, les passions de musique d’un musicien dans sa pleine maturité dans les années 50, entre Sinatra, Basie et les souvenirs du il jette le masque avec une joie palpable, éclatante, presque hargneuse. Il attaque Ah c’qu’on est bien quand on est dans son bain et annonce Les Américains appellent ça la money music et j’en ai fait des tonnes ». Alors il continue le medley avec Le lion est mort ce soir Tu parles d’une connerie », Le travail c’est la santé, Quand je monte chez toi Je vous ai saoulé avec cette chanson », Zorro est arrivé Ça, ça fait manger, ça ! ». Le vieux professionnel se libère enfin, jette le masque à la dernière il n’avait pas grand respect pour ces ? Bien sûr, il finira sur le sketch du gin. Mais il chante en premier rappel Avec le temps, qu’à une époque on lui aurait interdite s’il avait annoncé qu’il la voulait. Une version magnifique, avec une gravité immense et un rien de gouaille parigote. Une révélation, forcément, que cette capacité à aborder l’immense, à gravir l’Acropole, à bouffer des haubans. Sa carrière a si souvent dit le contraire…Il y avait un peu de revanche chez Salvador en ce soir historique, un peu de confidences aussi, dans la manière de dresser un autoportrait qui lui ressemble absolument – comme on dit forcément la vérité à son dernier instant. Si cela doit être une conclusion, elle est touchante. Jean-Michel Jarre retourne au physique Jean-Michel Jarre au théâtre Marigny, pour sa reprise d’Oxygène. D’abord, les retrouvailles avec les synthétiseurs analogiques l’attaque des notes par une sorte de bulle électrique mate, des sons flûtés qui fonctionnent en mille-feuilles, une impression de souffle sous la note, des couleurs à la fois clinquantes et pas très nettes… Et les instruments comme la fameuse réglette métallique au son de theremin, le Moog porté en bandoulière comme une guitare, les curseurs et les molettes, les fiches à enfoncer dans les tableaux à connexions. Les musiciens sont affairés, la musique y retrouve une dimension physique, une évidence la musique y gagne en imprécision, en fragilité, en hésitation. Si on compare avec les reprises de pièces contemporaines d’Oxygène lors de la dernière tournée de Kraftwerk, il y a évidemment plus d’humanité chez Jarre et ses compagnons de scène, et pas seulement parce qu’ils se démènent derrière des claviers qui ont trente ans. D’ailleurs, le dispositif du grand miroir qui permet de voir par au-dessus les instruments et leurs servants renforce à peine cette sensation d’assister à un travail d’élaboration risquée l’exécution de cette musique affronte des instruments rétifs. L’impression est curieusement moins proche de la musique classique que de ce qui advient dans la musique indienne, avec les accordages instables, les ergonomies aberrantes, la facture approximative je me souviendrai toujours de la démonstration que m’avait faite Shubendra Rao, élève de Ravi Shankar, à Delhi. On a l’impression d’une double lutte, d’une part pour faire exister la musique, d’autre part pour qu’elle ne s’éteigne l’entendre sur scène révèle combien cette incertitude construit en partie la musique, dans les brusques changements de direction, dans les équilibres de l’instrumentation, dans l’étagement des couleurs… On pense évidemment aux pionniers de chaque technologie, de l’automobile au robot-mixeur l’exploit est toujours double, toujours sur deux fronts à la fois, nourri d’une double volonté. D’où aussi la candeur, la limpidité formelle d’Oxygène, sa relative pauvreté de discours, si on compare à Craig Armstrong, à Matmos ou à Matthew Herbert – aventuriers d’un monde de mise en mémoire et de presets. Rodolphe Burger, l’humaniste en électricité Suivre Rodolphe Burger, c’est un peu pister le saumon. On sait que ça va remonter le courant, mais on ne sait jamais de quel côté du rapide. Voici un DVD de concerts avec Yves Dormoy, Planetarium, et un nouvel album, No Sport, pour février. Une sorte d’aristocratie aux guitares très sobres, très crues, à la fois drues et flottantes. Une affaire de mélodies étales et musclées, d’arrangements aussi incroyablement limpides que savants. Sur le DVD, un concert à Tashkent avec des musiciens traditionnels ouzbèkes ; sur le CD, une nouvelle rencontre bouleversante avec James Blood grammaire de voix compressée, de verbe attentionné, de figures musicales obliques, d’oriflammes électriques claquant au vent, tout cet univers semble orienté par une manière très douce de torturer la forme, par une chaleur et une générosité d’intentions que l’on entend peu dans le rock. Peut-être est-il un humaniste à la manière des grands généreux de la chanson – Herbert Pagani, Julos Beaucarne, Anne Sylvestre. Une candeur et une inquiétude du cœur appliquées au rock, une limpidité d’âme derrière le voile noir de la distorsion. Cette posture-là, curieusement méditative et – osons le mot – et spirituelle est particulièrement rare dans cette musique à bruit et à fureur. Comment ne pas lui savoir gré de désarmer la guitare, d’être un poète du jeu, de poursuivre encore et toujours le chantier de la beauté ? Carla Bruni et le péché Je suis surpris, depuis quelques années, par la manière dont Carla Bruni est désignée comme pécheresse. C’était le fond d’interminables discussions, début 2003, quelques temps après que fut sorti son premier album Libé, Le Monde et Le Parisien avaient titré tous les trois Chanteuse modèle ». On ne contestait pas que ce soit pas mal, peut-être même bien, mais déjà trop entendu, trop vu, trop promotionné. Des chansons cousues de fil blanc, taillées pour la gloire, programmées pour le y a eu quelques conversations déplaisantes. Pourtant, elle était allée chercher Louis Bertignac, pas Jean-Jacques Goldman, Didier Barbelivien ou Jean Lamoot – selon les besoins qu’elle aurait eus. Et Louis Bertignac était quand même, avant justement qu’elle le rédime, un gentil cambouis vaguement ronwoodiste et plutôt franchement ringard. A cette époque, les chanteuses devaient encore gueuler pour gagner leur pain, on n’avait pas enterré Lara Fabian, la Kaas n’était pas en exil, Jenifer venait de pointer son haut-parleur la mode n’était pas au susurré, au tout doux, à la langue de chat », comme elle disait. Mais tant pis elle était forcément dans l’air du temps, puisque ça marchait. Et si elle l’était, c’était parce que c’était fabriqué pour ça. D’ailleurs, ça avait couté des millions, ça avait été masterisé à Los Angeles pourtant, ce n’était pas écrit sur la pochette, ça n’était même pas elle qui chantait la Carla était un produit. Une machination, une manœuvre, une construction. Et cela est un péché – qu’y peut-on, ce que l’on exige de sa télévision est interdit aux question n’est pas de savoir si c’est parce qu’elle est belle, parce qu’elle née riche, parce qu’elle a été mannequin, parce qu’elle est libre, mais on a bien senti à ce moment-là que Carla Bruni était sale d’un péché originel singulier tout en elle était forcément faux, puisque superbe ; tout en elle était mensonge parce que hier s’ajoute un péché pire, ou plutôt un catalogue de péchés. L’homme politique, le pouvoir, l’addition des renommées, l’assomption des photos, le mélange des sangs avec la droite… Ça répugne ? Alors on réécrit dare-dare le passé. Ses chansons n’ont jamais été belles, son succès était un effet de mode, cette fille est décidemment d’une âme noire…Quelle opinion pourrais-je avoir sur ses amours ? Aucune, comme sur celles de quiconque n’est pas de mes proches. Ni dragées, ni pronostic, ni position morale. Rien non plus à dire sur ce que cela signifie sur notre époque, une époque de corruption et d’affaissement éthique. Un peu d’embarras quant aux enfants qui doivent assumer ce qu’ils lisent sur leurs parents en passant devant les kiosques ; un peu d’embarras quant aux difficultés qu’il y a à vivre sa vie privée au su de tous, et surtout de ceux qui ne vous veulent pas de elle est une fois de plus pécheresse, ce péché-là venant confirmer les précédents, ce péché-là dénonçant l’ancienneté du péché en elle. Sur quelques blogs de confrères, à la radio ou dans quelques papiers ce matin, on sent courir ce frisson-là on ne lui reproche pas de déroger ou d’avoir mauvais goût, mais de démasquer soudain vie et œuvre antérieurs, qui étaient forcément de la même malice que ses amours actuelles. Le péché, le péché, le péché...PS. – Une dernière chose, utile à répéter dans ce pays catholique Jean Calvin ami de la gaudriole s’il en est ! nous a sainement rappelé que le contraire du péché n’est pas la vertu. Le contraire du péché, c’est la foi. Cela seul compte. Les bons conseils de Claude Lemesle Après qu’il a fêté ses quarante ans de chanson en scène il y a quelques mois, Claude Lemesle poursuit une sorte de bilan plus ou moins testamentaire – plutôt moins que plus, j’espère ! – avec un joli livre intitulé L’Art d’écrire une chanson. Il s’agit de conseils pratiques illustrés d’exemples, tantôt dans ses propres chansons, tantôt dans celles des ose parler de technique plutôt que du souffle de l’inspiration, parler du propos délibéré qui fabrique l’émotion plutôt que de la fiction de l’auteur-médium traversé par les mots et leur puissance. Il apporte bien sûr sa propre expérience mais aussi la manière dont Brel, Brassens ou Trenet fabriquent leurs coups de génie, ce qui doit être à la fois angoissant et désinhibant pour les impétrants. L’idée que l’art soit du travail est une vieille lune dont on fait des proverbes 90% de transpiration, le talent est une sale manie et tout ça… mais sur laquelle on a parfois du mal à mettre le foncière de ce petit bouquin est de rendre absolument concrète cette obligation de précision et de patience. Il va sans dire que je me demande s’il arrivera en une quelconque manière à réduire le flot des amour-toujours-tendresse-caresse que l’on continue de subir. Led Zeppelin à l’O2 Arena la musique quand même Evidemment, un événement mondial, c’est toujours un peu nouille. Il y a la cuisine derrière. Je me souviendrai toujours d’un train spécial pour aller voir l’éclipse totale de soleil à Reims et du journaliste de TF1 qui hurlait aux garçons dans le wagon de première classe vous le servez le champagne, j’ai besoin de mes images ! » Donc, dans les deux press rooms, on n’avait pas de son sur les télés pendant la première partie. Et, alors, le journaliste devient nerveux, se ronge les ongles en disant ils vont quand même tout réparer, non ? », se tourne vers son confrère allemand et lui dit I’ve never seen such a mess, no ? », se dit que ça va être facile de faire une critique du concert sans le son. Et puis tout s’arrange. Son énorme, gros beau lyrisme, on comprend comprend mieux qu’il n’y ait pas que Joe Satriani et Eddie Vedder qui parle de Led Zeppelin. On comprend mieux la filiation avec Sonic Youth ou Tool, une sorte de fureur libertaire et terriblement musicienne. Tout à l’heure au O2 Arena, l’enjeu n’était pas seulement de hisser le drapeau et de raconter les pages déjà légendaires enfin, tout ça y était, la guitare à deux manches de Jimmy Page, Robert Plant avec son harmonica ou ses tambourins, mais aussi de remplir les blancs pour ceux qui n’avaient pas vu, avant la manière singulière de déstructurer le rock, de laisser la matière passer au-dessus du bord de la casserole. C’est au fond pourquoi on peut bastonner aussi fort qu’on veut derrière Patricia Kaas, ça ne sonnera jamais avec la même valeur, même s’il y a le même bruit eh oui, il faut réécouter son dernier live, une sorte de furie dans la course aux armements.Evidemment, je n’avais vu Led Zep qu’en vidéo. La différence avec ce soir ? Le mouvement, le décalage, le tremblement, le travers, le curieux langage modal de l’archet à la guitare qui émerge sous l’épate, un moment presque Bud Powell dans le fatras Liberace de John Paul Jones au piano depuis, il y a eu plus cruel The Edge au piano. Peut-être pas de quoi les absoudre de toutes les images de sports extrêmes sur lesquelles on pose Stairway to Heaven sur les chaînes du câble, mais de quoi les rétablir dans une certaine noblesse de musiciens – et pas seulement d’icônes seventies. MC Solaar, une histoire de chansons Depuis une lointaine lurette, MC Solaar n’avait plus fait de scène. L’y revoici, dimanche soir au Bataclan, bien entouré DJ-clavier, guitare, basse, batterie, trois choristes-MC. Couleurs volontiers rock, volontiers fières, volontiers convergentes avec le commun des y a une délectation aznavourienne à retrouver Bouge de là, Caroline, Nouveau western, Qui sème le vent récolte le tempo, tout un panthéon de titres qui touchent, frappent, caressent, émeuvent avec une efficacité étourdissante. Bien sûr, si ses problèmes avec Universal n’avaient pas gelé son catalogue, il y aurait sans doute plus de chœurs du public, peut-être plus de gamins qui, souvent, ne connaissent Solaar que de réputation un bon best of de temps en temps, ça réveille les chansons.Chansons, justement. On peut commencer à amorcer un bilan, non ? Il y a quinze ans, son premier album le mettait dans le premier numéro de Chorus qui, comme tout le monde à l’époque, se posait des questions sur une possible entrée de ce garçon-là ou d’autres dans le caveau de famille de Bruant, Brassens et Renaud. A entendre les objets musicaux qu’il affiche sur scène, on est obligé de convenir qu’il n’est pas loin du compte. Il ne s’agit pas seulement du style, de la forme, de la scansion, de telle ou telle liberté ou de telle ou telle guinde dans son expression. Non, ce qui le constitue homme de chanson tient sans doute à ce que sont devenus les titres cités plus haut – des familiers, des compagnons, des exemplae le cas échéant. Victime de la mode est à la fois classique et tout proche, Bouge de là reste une déambulation de comédie… C’est cela, l’aznavourisation, à la fois glorieuse et difficile à gérer que les chansons finissent par sembler vivre plus densément dans la salle que sur la scène, que l’artiste soit toujours, quoiqu’il fasse, en-deçà des dimensions de mythe de ses créations. Ici ou là, il en reprend une à son public, comme La Concubine de l’hémoglobine, qui passe à une forme dilatée, rock, reconstruite. Et puis, pour le reste, il offre son gros bouquet de chansons énormes, tout en présentant les nouvelles pousses de l’année. Missill, une électro hors hypnose A Pékin, pendant l’expédition des Transmusicales en 2005, j’avais rencontré Missill, DJette survoltée et drôle, grosse puissance de mix en club et personnalité à la suractivité stimulante. Voici que l’on reçoit, deux mois avant sa sortie, son nouvel album perso, Missill Targets, belle tuerie tous azimuts, du ragga à l’électro pure, du funk rock au hip hop énervé. Tout lui correspond bien, hâbleur juste ce qu’il faut mais avec une vraie énergie de l’ impressionnant, l’enchainement des quatre titres de la fin, solidement charpentés, bondissants mais avec un je ne sais quoi de bégayé, de boitillant, de posé de travers dans la rythmique, comme un big beat dansé à cloche-pied. Le son est d’une dynamique énorme avec ses filtres sales et sa compression têtue, avec ce côté obsessionnel de l’extase de dancefloor. Ce qui est passionnant à l’écoute, c’est la manière qu’elle a de ne pas aller tout droit, de ne pas remplir tous les vides, de ne pas être systématiquement roublarde cela tranche avec l’impeccable parade de Justice et son électro Danette. Il y a comme une place pour ouvrir les yeux, pour ne pas se laisser enivrer totalement, pour échapper à l’hypnose. Une sorte d’électro indépendante. Badume’s Band, une Bretagne éthiopienne Les voies qu’emprunte la musique sont irrésistiblement intriquées, emmêlées, impossibles à pister. Badume’s Band compte parmi les cas à la fois extrêmes et ordinaires de cette histoire des musiciens du Centre Bretagne qui jouent la musique du swinging Addis Abeba des années 60. Il y a une évidence dans le schéma de départ, quand à la texture de la voix et du chant d’Eric Menneteau, avec une pulsion, une houle, une intériorité du rythme qui signalent la gwerz sous la langue amharique. Quand il hausse les syllabes fortes, la note vibre exactement comme en Bretagne, dans une voix de tête très fervente et très la basse slappe, les cuivres roulent, la rythmique tourne fermement, on comprend cette soul africaine dans Addis kan, leur album qui vient de sortir chez Innacor, le formidable label du formidable Erik Marchand. Et ça raconte bien autre chose qu’un jeu de folklores et d’emprunts, mais plutôt la recherche d’une vibration intérieure et hétérogène en même temps. La démarche est un peu celle qu’on imagine chez un Serge Gainsbourg à Kingston, chez un Claude Nougaro à New York, comme pour une régénération du matériau sensible. On a tout de suite envie du disque suivant… Radio Nova, à rebours du temps L’an dernier, Nova avait sorti un coffret tout jaune avec vingt-cinq CD pour vingt-cinq ans de radio. Impressionnant, certes, mais un rien narcissique, après tout. Voici un exercice bien plus stimulant, 1956-1980, les racines de Nova vingt-cinq CD pour les vingt-cinq années d’avant. Donc Bizot et Kolpa Kopoul ont fouillé dans la production de chaque année ce qui aurait été l’enthousiasme de la radio si elle avait c’est encore plus facile, dans ces conditions, d’avoir bon goût ! Mais c’est passionnant de voir réécrire les hiérarchies, de voir reconstruire le passé M. William par Léo Ferré, In a Mellow Tone par Lambert, Hendricks & Ross, la confrontation de Please, Please, Please par James Brown et Les Pantoufles à Papa par Jean Constantin ça, c’est diablement pertinent !, Yaô par Pixinguinha… Une nouvelle carte des goûts, des courants, des connexions, des croisements, comme l’histoire à la fois underground et révélée de notre culture populaire. Çà et là, bien sûr, un peu de révisionnisme ne fait pas de mal, comme l’exhumation du Moral nécessaire d’Alfred Panou, un des pires désastres commerciaux du label Saravah 1970 ou des Nuits d’une demoiselle par Colette Renard 1963 qui ne dépassa guère la diffusion sous le manteau et pour cause ! à l’ on entend un autre air du temps, sans Beatles et avec le Tiers-Monde, sans pop music et avec la constante réflexion du jazz, sans yé-yé et avec les quartiers noirs de l’Amérique. Géopolitiquement, c’est sublimement généreux. Culturellement, c’est plus du Greil Marcus que de l’histoire rigoureuse. Musicalement, c’est étourdissant. Et puis, c’est jouissif. Jusqu’à présent, on a l’impression que le passé des compilations nous était toujours raconté par France Inter ou par RFM… Au pays de Noël V un agneau, avec un grand zèle » Les raisons pour laquelle les Antillais continuent à chanter des cantiques de Noël sont nombreuses, complexes, ambiguës, réellement typiques de la manière dont, dans une société créole, peuvent s’inverser les polarités culturelles. Car, après tout, on va dans quelques jours chanter des cantiques dans les salons d’un ministère de la République pour honorer la communauté antillo-guyanaise, ce qui n’est pas tout à fait ordinaire dans notre régime laïque. Mais les défenseurs les plus acharnés de nos cantiques antillais ne sont pas toujours eux-mêmes vraiment catholiques. Et peu y a le collectif, le convivial, le partage, le braillé-ensemble, la redite extasiée des mêmes émotions déjà bien connues. Il y a la langue extraordinaire de ces chants, écrits par des curés à l’emphase très XIXe et aux ailes bien courtes à propos d’ailes, l’émerveillement renouvelé, à chaque fois, au vers L’un apporte un agneau, avec un grand zèle ». Alors ce français-là est devenu un français curieusement distant du français quotidien, et même du français de France, avec sa guinde surannée et ses grâces rhumatisantes. Il est quasiment de la même eau, en fait, que les ritournelles créoles qui suivent la plupart des cantiques. Après les douze couplets interminables qui commencent par Joseph, mon cher fidèle/Cherchons un logement/Le temps presse et m’appelle/A mon accouchement/Je sens le fruit de vie/Ce cher enfant des cieux/Qui d’une sainte vie/Va paraitre à nos yeux », on chante A fos Joseph té boulé/A fos Joseph té boulé/A fos Joseph té boulé/Joseph domi déwo » Joseph était tellement saoul qu’il a dormi dehors ».Mon préféré ? Page 79 du recueil vert celui de tout le monde Quand Dieu naquit à Noël/Dans la Palestine/On vit ce jour solennel/Une joie divine/Il n’est ni petit ni grand/Qui n’apportât son présent/Et nononono/Et nofrifrifri/Et nono/Et n’offrit/Et n’offrit/Sans cesse/Toute sa richesse ». Je n’ai jamais imaginé que l’on put résister à ces cantiques-là, à Dans le calme de la nuit, à Michaud veillait, à Allez mon voisin, à Oh la bonne nouvelle pour une introduction, se reporter à la constante réédition du vénérable Noël aux Antilles avec Manuela Pioche, Henri Debs et Guy Alcindor… Mais ce sont ces cantiques qui m’ont toujours semblé la preuve la plus impeccable que les Antilles n’étaient pas absolument françaises, et même loin de l’être, tant leur culture continue de faire miel d’un pan de culture française déserté par les Français. Car, en France, on ne chante pas Noël, on n’habite jamais le pays de Noël. Et pourquoi ? Au pays de Noël IV enfin, Spike Jones respecte quelque chose Spike Jones a beaucoup haché de musique. Des sifflets, des gloussements, un kazoo, des coups de feu, des hennissements, des voix de fausset, tout un répertoire de nez rouges mis à la musique d’orchestre de l’époque avec autant de goût pour l’absurde que pour la bouffonnerie. On a peut-être oublié son côté dadaïste pour ne plus retenir qu’un lien avec Tex Avery, dont les bêtisiers télévisuels usent et abusent aujourd’ qui fait qu’on ne le prend guère au sérieux, qu’on le regarde un peu de haut, le pourvoyeur en musiques rigolotes de Télé Foot ». Pourtant, son album de Noël, Let’s Sing a Song of Christmas, en 1956, est un joli modèle de piété musicale. Car, de manière assez inattendue, il alterne les instants comiques qui dynamitent les standards de Noël, et les instants de beauté simple, dans lesquels il laisse le chœur chanter les traditionnels selon la tradition. On a l’impression que lui-même, en 1956, fait le tri d’une part, les rengaines rebattues qui l’agacent suffisamment pour qu’il leur fasse un sort avec ses City Slickers et, d’autre part, les chansons de la joie, de l’émerveillement et du partage qu’il faut laisser intactes. Cette pudeur, ce respect, cette sincérité finissent par être réellement touchantes. Au pays de Noël III le chef d’œuvre de Leon Redbone La puissance de l’album Christmas Island de Leon Redbone tient à sans doute plus à son assomption des lieux communs qu’à la volonté d’y échapper. Au contraire, il y a partout la référence à un âge d’or à la fois bien connu et plaisamment détourné. Le dobro de Cindy Cashdollar comme souvent dans ses albums des années 80, mais avec les omniprésents violons de Noël ; le piano un peu stride, mais joué par Dr John… L’ancienneté du répertoire sa vétusté, même n’est pas seulement la signature d’un esthète des temps du 78 tours, mais éclaire finalement un certain rapport aux fêtes de fin d’année, par essence nostalgiques et désuètes. Vu de France, il est d’ailleurs peu de disques américains de Noël qui parlent aussi sincère et avec autant de noblesse du sentiment tout simple enfantin, même, qui consiste à attendre les cadeaux et à sourire devant les décorations de la maison. C’est un peu le pendant du générique de Manhattan de Woody Allen, un discours voisin de celui d’Ingmar Bergman lorsqu’il peint le réveillon au début de Fanny et Alexandre une idée des Noëls passés, à la beauté sans nuance et au prestige intact. En idéalisant la chanson de Noël, Leon Redbone idéalise Noël autant que l’Amérique des musiques populaires. Un chef d’œuvre armé de toutes les ruses et de toutes les techniques du second degré, mais qui célèbre Noël de manière parfaitement littérale. Au pays de Noël II Santa Claus is une pute The Jackson 5 Ce qui est le plus embarrassant avec la manie américaine de l’holiday music, c’est son caractère systématique. Et, autant on peut se réjouir que tout le monde enregistre un jour un disque de Noël, on peut déplorer que tout le monde enregistre un jour un disque de Noël – parce que c’est, de temps en temps, le pire disque d’une carrière. Les Jackson 5, par exemple, n’avaient pourtant pas lésiné sur le mauvais sucre, les graisses saturées et les colorants chimiques. Ils en rajouté avec un allant confondant en 1970 sur leur season album. Jamais ils n’ont plus braillé dans le micro, jamais leurs arrangements n’ont été aussi cheap, jamais ils n’ont constitué une tracklist avec autant de faiblesse – le super nunuche Rudolph the Red-Nosed Reindeer, une version sinistre de L’Enfant au tambour… Et, pour arranger le tout, Jermaine n’est pas vraiment en voix et Michael chante faux dans presque tout Santa Claus is Comin’ to France, on aime à déplorer le massacre des dindes et la grande orgie rituelle des fêtes. Il faudrait, si l’on était américain, pleurer la dignité sacrifiée de certains artistes. Car, s’il y a peu à aimer dans la carrière des Jackson 5, son épisode le plus miteux est sans doute là, dans ces chansons semées de petites clochettes féériques, de violons extasiés, de jolies images de paix universelle et d’enchantement familial. Un sommet du sonner-faux et de la fausse conviction qui ne parvient pas à se dissimuler musique médiocre, intentions sans ambition aucune, rendu pitoyable. Alors, évidemment, comme on dit, il faut se remettre dans le contexte de l’époque, il faut comprendre la demande du public, il faut se souvenir de ce qu’a été l’épopée des Jackson 5… Et ça ne suffit pas comment trouver une musique moins sincère que celle-là, une musique aussi docilement servile, une musique aussi consciemment prostituée ? Au pays de Noël I Elvis, l’hyper-Noël Ces jours-ci à New York, retrouvailles avec les disques de Noël – une pièce entière, des centaines de références au Virgin Megastore de Times Square. Evidemment, l’envie d’entrer dans tout ce répertoire à la fois si loin et si proche de notre Noël à nous, Français qui n’arrivons pas célébrer la fête sans mille questions, mille pudeurs, mille refus, mille détours. Les deux albums de Noël d’Elvis disent bien des choses de lui et de l’Amérique 1957, c’est le jarret ferme, le tranchant des versions, l’insolence instinctive sous l’attendrissement ; 1971, c’est les chœurs au large, l’orchestre nombreux, les effets hollywoodiens des arrangements, les devoirs d’entertainer sous le plaisir on réécoute son White Christmas, on comprend bien pourquoi Irving Berlin voulait qu’il soit boycotté par les radios il y a un petit rien de distance entre sa manière de syncoper et celle de Bing Crosby, entre la moue provocatrice qu’il y a sous ses cassures et l’œil de velours des crooners qui laissent désirer la note. Une sorte d’infime ironie, si on veut l’y entendre, alors que pour sa part il pose le peigne à gomina et le bandana avant de s’asseoir à la table familiale. Un scandale semblable à celui de ces putes qui sanglotent devant la statue d’une sainte à côté des grenouilles de bénitier quelles sont les larmes que désire le Seigneur, d’ailleurs ?.Evidemment, en 1971, il y a du show, des majuscules, de la fausse neige sur le sapin synthétique et dix milles guirlandes qui clignotent partout. Un hyper-Noël, en quelque sorte, qui s’accorde au commerce de masse des season greetings et des cadeaux à la 1957, il reste un peu de l’Amérique fauchée dans le disque de Noël d’Elvis. En 1971, la crise est loin. Berry et les doux mots de mort Il faut citer cette chanson de Léo Ferré et Jean-Roger Caussimon, en 1972 Ne chantez pas la mort, c'est un sujet morbide/Le mot seul jette un froid, aussitôt qu'il est dit/Les gens du show-business vous prédiront le bide ». Il reste que la mort La mort, la mort, la mort », chante Brassens en gonflant la voix dans Le Nombril des femmes d’agent, ce qui est merveilleux à chaque écoute est un bon sujet, peut-être même le meilleur. D’ailleurs, que chante-t-on si principalement, le dimanche au temple, sinon l’énorme jubilation du tombeau vaincu » dans le cantique A toi la gloire ô ressuscité ?Après que furent morts tant d’enfants dans la chanson réaliste, de L’Hirondelle du faubourg à Maman est une étoile, la chanson moderne fait beaucoup mourir les parents. Le père de Nantes par Barbara est-ce un blasphème de dire que ce n’est pas le plus léger-léger qu’elle ait écrit ?, le père de Vierzon par Jamait, le père de Mon papa de Sarclo…Puisqu’il faut préparer la rentrée de janvier, qui depuis quelques années est la saison des nouveaux artistes, parvient aux journalistes le disque de Berry, jeune femme dont l’album est un choc doux et élégant. On entend déjà ce qui va se dire à propos d’une chanson comme Le Bonheur, son habileté magnifique et ses carlabrunismes du genre Le bonheur conjugal/Restera de l’ar-/Tisanat local ». Ce ne sera qu’un moment agaçant à vivre pour Berry.Il y a dans ce disque une chanson particulièrement troublante, Plus loin. D’abord, on croirait une habituelle chanson de rupture. Et puis il y a des mots très choisis, des images pastel, des vers au sens oblique, qui font de plus en plus – puis tout à fait – penser à l’agonie et à la mort d’une mère. Il est bien possible que je me trompe, d’ailleurs, dans ma lecture de cette chanson. Il faudrait ouvrir un wiki Polysémie de la chanson » avec tous les doubles sens, faux doubles sens, rumeurs de doubles sens… Mais tout converge, et de manière aussi légère qu’insistante. L’émotion s’impose de manière d’autant plus têtue que mille pudeurs semblent chercher à lui faire contourner la chanson. Et c’est peut-être cela qui fait la valeur de Plus loin toucher sans rien dire, dire sans rien dévoiler vraiment. Une jolie rupture avec les impudeurs usuelles de l’exercice. Une exemplaire sincérité, un exemplaire mystère. Philippe Forcioli, rare et indispensable Il reste, invaincue, une chanson poétique. Et je reste indéfectiblement amoureux de ce que chante Philippe Forcioli, immense écrivain de ces mots faits pour trotter dans la tête lorsqu’on marche sur un trottoir anonyme ou qu’on veille dans la nuit Quand une chanson s’avance, son neuvième album qu’il a évidemment autoproduit. Et cela fait luire un soleil sur la journée, tant il fait jaillir la ferveur, l’élan, la tendresse, la compassion, l’amitié, la foi. On voudrait tout citer, évidemment, les arrangements flûtés et les percussions géniales de Celui qui s’en va, les franchises bouleversantes de Chemin de terre Un jour ayant compris que vivre était souffrance/Combat contre mourance espérance et folie/Un jour ayant compris que vivre est un voyage/Qu’il faut peu de bagages qu’il faut beaucoup d’amis », les poèmes de René-Guy Cadou, de Pierre Reverdy et de Henri Pichette qu’il a adaptés, ses magnifiques déclarations d’amour à l’amour allez, citons Que j’en appelle à l’homme à la femme ou bien à DieuEt à tous les jeunes les vieux au serpent ou à la pommeToutes routes vers Rome tous les chemins d’écoliersA ta suite font collier chaque brin d’herbe te nommeAimant et admirable insaisissable et donnéJuste à la pointe du nez de la plume ou de la lameTu es la girouette à la cible de tous chantsTous les soleils t’approchant tu les tiens dans ta musette »…Cet enracinement dans une langue éblouie, travaillée, jaillissante et dominée, ce n’est pas seulement le jadis de la chanson. D’ailleurs, son regard sur aujourd’hui peut avoir parfois une perspicacité tragique, comme dans Magazine, qui feuillette notre réalité et notre sais qui trouveront son art bavard, difficile, trop ardu pour les radios. J’entends bien leur sous-texte, qui aurait volontiers réservé Brassens aux manuels de français et Gréco aux pages thématiques du site de l’INA. Je persiste à croire que Forcioli incarne le meilleur de la chanson, sa part qui exige de nous d’être aussi grands que la mélodie, d’être dignes des émotions qu’elle nous apporte, de faire chemin en nous pour la rareté des sentiments plutôt que pour le flot ininterrompu des sensations sonores. Cette chanson-là nous ennoblit, élargit nos âmes, agrandit notre vie. C’est pour cela, sans doute, qu’elle est si rare et si rétive au commerce. Pierre Henry toujours, encore, toujours Depuis le 33 tours de Futuristie acheté, je crois, à 15 francs dans les soldes d’un marchand de disques à l’angle de la rue Nozières et de la rue de l’Abbé Grégoire, à Pointe-à-Pitre, je n’ai jamais vraiment cessé de fréquenter Pierre Henry. Au point que je me suis plus souvent senti dépaysé par les variétés que par son univers sonore qui se refuse à la le coffret six pièces inédites dont quatre de cette année. On peut lui reprocher, si l’on est maniaquement janséniste, de puiser encore dans le fond des Jerks électroniques notamment Cœur, remix de Psyché Rock qui se termine en tuerie à danser, mais peu importe. Ce qui me fascine le plus, c’est la précision de son vocabulaire sonore et, finalement, sa prolixité avec un matériau aussi ténu. Le grincement de porte, la chaîne trainant sur le sol, le frottement d’un métal sur de l’inox une fourchette dans un plat ?, des soupirs, des échos de souffle, des sirènes de tous les tons, des parties du son d’explosions ou de tintements de cloche, des craquements de feu, des chocs directement sur la tête de lecture du magnétophone, des sifflements électroniques, des passages d’avion ou de moto, des brouhahas de foule…Histoire naturelle ou les roues de la Terre est évidemment le plus limpide – presque naturaliste, même, avec son parcours dans les sonorités typiques » les plus identifiables du monde – mais j’avoue beaucoup d’attirance pour les humeurs de vieille mécanique d’Utopia. On y entend tant de sons qui durent compter dans la vie sensible du vieux monsieur, des ressorts et des soupapes, des sirènes et des bruits d’orchestre, des sifflets et des rires… Les créations de Pierre Henry sont ainsi, comme des retrouvailles avec la bassine à confitures en cuivre ou avec la vieille clé de la serrure rouillée du jardin tout fonctionne parfaitement, avec autant d’évidences que de heurts, autant d’abandon que d’inconfort. Mais un petit parfum de bel hier, une sensation de fin d’été. Alela Diane, noblesse folk Au début de Tired Feet, Alela Diane chante cinq fois my tired feet ». Cela s’appelle commencer clairement un album. Peu de disques sont aussi éminemment vrais que le sien, The Pirate’s Gospel, dont on ne peut pas faire autre chose qu’y retourner, encore et toujours depuis quelques mois un folk impeccablement humain, bouleversant d’un bout à l’autre, aussi dépouillé qu’un temple calviniste avec un je-ne-sais-quoi de moins bienveillant une manière de rappeler, par la forme du chant, que le monde n’est pas seulement une histoire de mélodies sincères. Il y a chez elle tout ce qui peut émouvoir chez Lucinda Williams et même chez Karen Dalton, de la connaissance intime des tourments de l’âme jusqu’à l’appartenance atavique à la lignée des femmes américaines qui n’ont pas leur langue dans leur y a bien sûr chez elle quelques tics de l’americana contemporaine, comme la voix doublée avec une grosse réverb, comme les références christiano-laïques bien trouvées, comme le vibrato un peu nasal… Mais c’est tellement beau, tellement simplement beau, cela illustre si bien l’idée foncièrement démocratique de la noblesse du folk. Ludéal sous l’ombre de Bashung C’est entendu il faut, cette saison, aimer Ludéal. Il y a Jean-Louis Piérot et Frédéric Lo dans l’histoire, le buzz initial via les Inrocks, mille bruits croisés et cent t’as écouté ? » dans tout le métier. Et, assurément, c’est magnifique. Il y a la torsion du parler quotidien d’un Général Alcazar, l’aplomb de la poésie de Bertrand Belin, le sérieux papal dans l’expression des sensations que l’on trouve chez Dominique A. Et puis partout, en fait. Le détachement grave des mots, la propension à énigmer les phrases, la délectation des images un peu embarrassantes à visualiser Es-tu bien sûre que je te plaise/Dans ce costume de nonne ? », le vibrato rock’n’roll dans le parlé-chanté des refrains, la déploration flegmatique dans l’énonciation de la plupart des textes… C’est d’ailleurs tellement Fantaisie militaire qu’on se prendrait presque d’une inquiétude, de questions vaguement compatissantes sur la liberté dont s’habille ce garçon-là. Ne va-t-on pas le gaver de questions sur Bashung ? Et ne va-t-il pas, symétriquement, nous assurer qu’il écoute autre chose ? D’ailleurs, on va s’amuser à deviner Nick Drake ? les deux derniers Leonard Cohen ? Lee Hazlewood ? Gérard Manset ? Richard Anthony ?Son CD arrive semble-t-il en janvier prochain après sortie digitale ces jours-ci sur mon pre-release, en tout cas, il est écrit premier album, sortie le 22 octobre 2007 » et il se prépare un démarrage sous ombre tutélaire, genre Oasis ou Cotton Mather et les Beatles, Bachelet et Brel, Robert et Mylène Farmer… Au demeurant, on peut se sortir de ce genre de situation. Brisa Roché est allée chercher Alice Quand on est né en 1963, on n’a pas pu rater Grace Slick, même si on n’avait pas tout à fait l’âge. Ah, cette impression de courir pieds nus dans l’herbe humide en écoutant White Rabbit ou Somebody to Love… D’ailleurs, malgré toute la puissance de groupe de Jefferson Airplane, c’est de manière disjointe qu’agissent les sortilèges de sa voix, à la fois engagée et trainante, vibrante et comme retirée en voici que Brisa Roché fabrique des sensations très voisines, comme si l’on dansait, un peu défoncé, sur le béton mouillé d’un bord de piscine sous un soleil descendant, ou comme si l’on regardait courir une campagne brumeuse derrière une vitre de R12 ou de 404. Des sensations un peu datées, sans doute, mais devenues terriblement rares dans le rock actuel une présence distante, une implication dans le chant qui développe le mieux ses charmes par le quant-à-soi. Sur Takes, son nouvel album, des chansons comme Heavy Dreaming, Egyptian ou Whistle ont une capacité évocatrice au moins équivalente au légendaire mantra go ask Alice » – des images un peu engourdies mais d’une présence mentale envahissante, une surnaturelle faculté à se situer hors du monde rectiligne. Serge Hureau, au bout ultime de la chanson La recherche des états limites de la chanson n’a aucune raison de s’interrompre et se trouve toujours des directions nouvelles. Le nouvel album de Serge Hureau et de ses amis, par exemple il y a dans Jardin des métamorphoses toutes sortes d’objets musicaux qui sont à la fois dans la chanson et en dehors. Une petite compilation d’adaptations de Green de Verlaine, par exemple les compositions de Léo Ferré, Reynaldo Hahn et Gabriel Fauré sur le même poème comme pour déplier les possibles d’une seule rêverie. Et toutes sortes de manières, de textures, d’origines, du oud et de la voix baroque, de la mélodie contemporaine et de la chanson pour enfants, du Voltaire et de l’italien, des intentions très comédiennes et le bel canto le plus abstrait…Depuis longtemps Hureau navigue au bout de la chanson – des Piaf dits, des Trenet mis en scène dans leur extrême noirceur, un spectacle de chansons par des sourds-muets, des recherches sur le poids politique des répertoires… Sa trajectoire finit par dessiner un territoire vaste comme la géographie arbitraire et merveilleuse des Villes invisibles d’Italo Calvino, comme la science des animaux extravagants des bestiaires médiévaux. Il atteint le centre de cet art par le voyage à travers toutes ses périphéries, d’un Aznavour chanté à l’orientale à une lecture joyeusement archaïsante de l’opérette Ciboulette. Il est peu de plaisirs aussi lettrés, peu de délires aussi civilisés. Barbara 1954 et notre plus candide fétichisme Sait-on toujours ? Se rend-on compte ? Que se passe-t-il quand un astre apparait ? Luit-il d’emblée comme au firmament ? On sait combien, par exemple, le meilleur de Gainsbourg n’est pas ce qui eut le plus de succès au comptant, et combien fut long l’apprentissage de Brel. Voici que parait enfin le mythique enregistrement du 1er octobre 1954 de Barbara à l’Atelier, à Bruxelles. Chanteuse amateur mais déjà singulière, certes. Un produit de son époque, pas forcément affranchie de Germaine Montero, de Juliette Gréco, du tout-venant de la chanson expressionniste de cabaret des accents circonflexes, des modulations dramatiques, des murmures outrés, des élisions argotiques très soignées… On peut y entendre l’interprète à venir, sa dynamique, sa palette chromatique, son fond d’ironie, son romantisme aux traits la devine rétrospectivement, donc. Et en cela ce document est bouleversant. Ainsi les ferveurs du Couteau qui courent du grave à l’aigu, annoncent-elles – au moins – son disque Brel aujourd’hui comment échapper au sentiment d’être un rien fétichiste, obsessionnel, indiscret, comme à chaque fois que l’on exhume l’état premier, que l’on révèle le miracle du tout début ? Mais on ne cesse d’espérer le document – ou de regretter son absence. Eh quoi ? Brassens à Basdorf avec ses copains, Ferré le soir de son bide à la Rose Rouge, Antoine tout seul avec sa guitare sans arrangements, Souchon et Voulzy en duo sur les maquettes… Qu’est-ce qui nous empêche d’avoir envie de tout cela ? Puisque l’on sait bien ce qui nous y oblige.Au bout du compte, c’est un peu toujours le même mélange d’exaltation et d’imperfection, la même dialectique de vérification de ce que l’on sait et d’exploration de la gangue sédimentaire ancienne. Et on y repart à chaque fois. Et à chaque fois avec le même enthousiasme, la même mécanique ivresse, la même candeur délicieuse et un peu vaine. Elle a une chanson comme ça, Barbara, qui disait A chaque fois, à chaque fois »… Pierre Perret et ce qu’il restera de la chanson paillarde Pierre Perret sort dans quelques jours un disque de chansons paillardes, Le Plaisir des dieux. Il y a des classiques, des raretés, des originales, tout un conservatoire de génitoires gourmandes et de vits exagérés. Il me vient l’idée que ce pourrait bien être un des derniers disques du genre, tant l’utilité de ce répertoire me semble près de s’éventer. Plus grand monde ne compte sur ces chansons pour apprendre le vocabulaire spécialisé, pour susciter les images mentales nécessaires à la masturbation, ni même pour égayer ses soirées. L’explicite est déjà un peu partout et les charmes de la paillarde doivent peut-être se chercher sinon dans le second degré, du moins dans la délectation documentaire – un temps de frustre fantasmagorie, de métaphores spectaculaires, de tournures virtuoses…Evidemment, on est tout réjoui par Le Petit-fils d’Œdipe, texte de Georges Brassens jusqu’alors à peu près inédit mais il en circule une version chez les brassensistes les plus acharnés une version avec musique de Jacques Munoz ou de retrouver son propre répertoire de collégien je me souvenais bien de Trois orfèvres. Mais cela durera combien encore ? C’est macho, parfois un peu homophobe, volontiers pédophile. Rien qui ne résistera encore une ou deux générations à la correction politique. D’ailleurs, il n’est qu’à voir l’attrait constant symétrique de ce même répertoire dans ses rares incarnations strictement féminines voire très vaguement féministes, comme avec Les Nuits d’une demoiselle de Guy Breton, Colette Renard et Raymond Legrand, que j’ai encore noté cet été dans le spectacle de Marie Dauphin et que Victoria Abril reprend dans son disque de chansons françaises qui sort dans quelques semaines. La connaissance de ce répertoire qui unissait jadis Brassens et Perret pourrait bien muer, elle aussi, en une reconstruction culturelle normative on nettoie les chansons de l’inécoutable et une muséification vaguement conviviale. Une certaine quantité de chants de marins ont été préservés, pour un usage très contemporain. Y a-t-il un romantisme qui puisse sauver la chanson paillarde ? Sarclo, le garçon qui croit que les Français n’aiment pas les protestants Joie. Je reçois Le Petit Format, la lettre bimestrielle du Centre de la chanson garçons valeureux, opiniâtres, passionnés. Interview de Sarclo, qui a repris son ancien nom de Sarcloret parce que le président de la République française s’appelle Sarko. Je l’aime toujours bien, Sarcloret-Sarclo-Sarcloret, malgré que parfois je ne comprends pas tout ce qu’il chante. Dans l’interview, il dit des choses intéressantes sur plein de sujets qui m’intéressent. Et voici qu’on lui parle des chanteurs suisses. Il répond Dans le bouquin La Chanson française pour les nuls, sont cités, en tout et pour tout, trois chanteurs suisses. Deux vivants et un disparu. Stephan Eicher a six lignes, Henri Dès deux lignes. Jean Villard Gilles, le disparu, a, lui aussi, droit à deux lignes. Je pense qu’il y a chez vous un anti-protestantisme primaire assez costaud. Il vous a fait vous débarrasser de Michel Rocard, Lionel Jospin, Catherine Trautmann, Maurice Couve de Murville… Il y a chez vous des protestants qui sont tous des gens qui parlent très bien, qui ont une belle langue, une pensée assez bien articulée et que vous finissez par rejeter. Je ne me prends pas au sérieux quand je dis ça, je le dis par boutade, mais je crois que la haine du protestant anime le français de manière extrêmement vivace. »D’ailleurs, ce doit être pour ça que les Français n’aiment pas Renaud, par exemple…Cela dit, je suis assez content qu’il ait lu mon livre en comptant les lignes. Ça me flatte. Mais soit il a très mauvaise mémoire parce qu’on en avait parlé longuement quand je l’avais interviewé, soit je ne sais pas quoi. Moi, de l’ anti-protestantisme primaire assez costaud » ? Ce doit être inconscient, alors. Je suis prochain bouquin, je prévoirai des quotas. Ça fera plus suisse, peut-être. Katerine, côté dessin Katerine sort un journal graphique, Doublez votre mémoire. On n’écrit plus journal graphique », de nos jours, mais seulement journal graphique, sans ces guillemets un peu précieux que la presse y mettait à l’époque des premiers volumes de celui de Joan Sfar. Il y a en a tant eu maintenant que le procédé est devenu assez courant, mais surtout l’exigence bien plus il y a ce à quoi on s’attendait des poses un peu grotesques de Katerine, des confessions pipi-caca, des souvenirs de tournée… Du point de vue graphique, c’est assez astucieux, régulièrement inventif, beaucoup plus doué qu’une seule transcription dessinée de plaisanteries variées il a vraiment un sens profond de l’image, et notamment dans la manière de porter une certaine subversion par un trait souriant. Ses petits personnages qui se livrent à mille tâches incroyables sont d’une bonhommie inquiétante. Et j’aime beaucoup sa manière de jouer de ses alias, de ses travestissements, de ses photos maquillées. C’est peut-être, d’ailleurs, le plus réjouissant de son outre, il raconte de jolies choses douces sur Helena, sa femme, dont l’univers entier est amoureux. Pusse, notre Berlin à nous Pour ma part, j’ai reçu le n° 1542. Gute Nacht, le nouveau Pusse, un bel objet en accordéon avec deux CD et un graphisme réjouissant, est en tirage limité à 2000 exemplaires numérotés. A-t-on besoin de plus, dans cette conspiration post-Dada, post-Bazooka, post-Murnau ? Evidemment, puisque son public a fini par s’élargir, entre enthousiasme pour notre Tom Waits d’intérêt local et effarement devant son carnaval titres valent vraiment de plonger dans ce disque, comme le très lyrique Electrocuite Dansons dansons/Dansons la danse/Des zombis mous/Suffit juste de claquer du genou/En s’décrochant la mâchoire/Electrocuite » avec la belle voix de Marie-Helène Toussainte Grimigni Soulié de Rozario, l’accordéon et l’harmonica pour les racines bistrotières folk, une lourde rythmique déglinguée pour la cave existentialiste, une voix mâle de fin du monde ensuquée…Pusse a toujours de beaux côtés années 30, des atmosphères d’abandon de soi en un autre siècle, une sorte d’affranchissement radical de toutes les actualités. On sait bien que c’est ce que souhaite une bonne part du rock Iggy Pop ou même les Rolling Stones sont allés s’installer dans des années 60 rendues éternelles par leur réduction au seul hédonisme sombre des temps qui conduisirent à l’émancipation de leur génération. Il y a chez Pusse des climats de cosmopolitisme désespéré quelque part dans une brume hivernale et nordique, une charnellité tout entière enserrée dans un écran de film muet, des contours de photo noir et blanc dans un magazine cheap de l’époque… Mais on s’amuse beaucoup, dans ce disque comme sur son son blog. Comme dans un bal masqué où nous serions tous Arthur Cravan ou Erich von Stroheim. Juliette Gréco et la nature du classicisme On attribue à Hugo l’aphorisme selon lequel le premier à avoir écrit fraiche comme une rose » est un génie mais le deuxième déjà un classique. La chanson a ceci de différent de la littérature que le classique est toujours le premier. Je suis toujours surpris de la facilité avec laquelle on associe Brassens, Brel et Ferré comme parangons de la chanson classique. Sans doute vaudrait-il mieux dire qu’ils sont trois classiques de la chanson, entre autres parce que j’ai parfois du mal à saisir ce en quoi on les associe essayons avec Souchon, Bashung et Goldman. Mais, surtout, ces trois-là n’ont pas écrit dans une lignée, une tradition, un usage, un courant. Ils ont écrit contre, ils ont écrit en rupture, ils ont écrit pour eux soir, Gréco chantait à Pleyel et j’ai plusieurs fois été visité pendant le concert par cette idée que, depuis des années, je lis écrit çà ou là qu’elle incarne la chanson classique. Et que je n’ai rien vu là de classique, au sens où le classicisme est le respect de la norme, l’engagement dans un système de références et de conformités. Au contraire, j’ai plutôt eu l’impression d’entendre le commencement d’une histoire, des couleurs de voix qui rompent non seulement avec Jacqueline François, mais aussi avec Chimène Badi, une science très exacte de la ductilité des chansons, une liberté perpétuellement renégociée sur le prévisible et l’ la délectation du mot ou la gourmandise devant la mélodie sont des valeurs partagées en ces termes-là plutôt par des artistes apparus avant les années 80. Mais le respect de l’auteur n’asservit pas le sensible chez Gréco. Au contraire, je ne suis pas sûr que Jean-Claude Carrière ait tout à fait pensé C’était un train de nuit tel qu’elle le chante. Mais ce qu’elle fait abonder dans cette chanson finit par emplir les silences et les imprécisions du texte, qui se trouve dès lors en un temps et en un lieu que Carrière n’avait pas écrits. Et cette posture n’appartient pas à une époque mais à un tempérament – le classique est ce qu’elle instaure, non ce qu’elle en chanson, le classique est le premier ; les suivants suivent. La liberté de Juliette Gréco a aussi affranchi celles qui chanteraient après elle. Il n’est ni Catherine Sauvage, ni Brigitte Fontaine sans elle. L’une des deux est à son tour devenue une classique en établissant une échelle de folie et d’arbitraire telle qu’ensuite ont pu surgir Claire Diterzi ou Adrienne Pauly. Et Gréco n’a d’importance aujourd’hui ni par sa longévité ni par son hypothétique fidélité à un temps donné. Ce qui compte, c’est le chemin accompli, les amarres rompues, les marais asséchés, toute l’entreprise de bouleversement du monde qu’elle poursuit, seule de son espèce et pourtant familière. Une classique donc, exemplaire dans le refus du quelque impatience en attendant d’entendre le texte étonnant qu’Abd al Malik lui a donné. On le dira sans doute classique, puisque imprévu. Urban Sax, un indice du déplacement du monde Discussion avec Gilbert Artman d’Urban Sax, qui en vient au curieux déplacement du sens et de la polarité du geste artistique. A leurs débuts, leur irruption dans l’espace public, leurs concerts sur des parkings ou dans des friches industrielles ont forcément un contenu politique, de manière immédiate et flagrante. La prise du monde par l’art, l’enchantement forcé du tissu urbain, tout cela est un combat qui fait tout autant sens que l’hirsute liberté du free jazz, que le vacarme acéré des alternatifs, que la longue marche loin des villes des babas certains ont fait – ou laissé – évoluer leur art vers des formes plus marchandes ou plus amicales aux oreilles, Urban Sax n’a guère changé de musique, d’ambition, de vision artistique. Mais tout le reste a migré les mêmes saxophones sur le même parking méritent aujourd’hui l’invitation du Conseil général, avec petit espace VIP pour les invités des entreprises partenaires. Les arts de la rue, l’événementiel, les outils de la symbolique politique, la noblesse » relative des divers espaces urbains ont tellement évolué que, comme le note Artman, les politiques veulent offrir aux habitants sans souci de ce qui sera montré. C’est un spectacle, alors qu’à l’époque nous n’agissions pas dans une perspective de spectacle. »Il est peu de cas aussi purs du glissement foncier des révolutions artistique vers le confort » et le conformisme », comme dit Artman. Car j’ai souvenir des papiers sur leurs concerts, de leur musique, de leur environnement idéologique et artistique, et il faut bien admettre qu’à peu près rien n’a changé, sinon la lecture de leur travail – ou plutôt le fait que la lecture de leur travail se cantonne à son niveau récréatif. André Minvielle ou la gravité de l’accent André Minvielle met du lieu dans la voix, rend au chant sa territorialité. Il est donc béarnais, jazzman, sudiste, improvisateur, parolier, pyrénéen – nul n’est censé ignorer la Loire », répète-t-il volontiers. Son nouveau disque, La Vie d’ici bas, est une aventure qui cite partout ses sources, Michel Portal, le Brésil, Albert Ayler, le chant d’école primaire, le bal, la Compagnie Lubat, Mai 68, la créolité, la banlieue. Une cartographie rare mais diablement actuelle, comme si son regard savait mieux traverser la forêt touffue des phénomènes n’est même pas sûr que Minvielle soit à proprement parler un postmoderne. Il appartient même, pour beaucoup de ses réflexes, à une génération culturelle qui croit à la possibilité d’un progrès en musique. Mais passons ses disques et ses spectacles ont la valeur de ces démonstrations d’Umberto Eco qui mêlent la bande dessinée, saint Thomas d’Aquin et Gérard de Nerval pour nous faire entendre notre époque. Minvielle rappelle l’épaisseur et le nombre de couches qui constituent notre socle musical, pour peu que nous l’assumions en saine identité des avant-gardes, la langue la plus vulgaire, les parages des grands génies, des élans collectifs et – j’y reviens – le lieu auquel on appartient avec ses parlers, son accent, ses orientations esthétiques. Cela me rappelle une conversation avec lui dans laquelle il notait l’utilité de l’accent du sud-ouest dans la formation des voix lyriques masculines pendant des décennies et, partant, le poids des Occitans parmi les grandes voix de l’opéra démonstration se poursuit avec ce disque, qui fait entendre une autre France, radieuse dans son accent et de fait autonome des couleurs dominant à Paris. Ce séparatisme fonctionne, finalement. Peut-être un chatouillis désagréable pour les jaloux du monochrome, mais une bonne nouvelle pour la musique, assurément. Laurent de Wilde, le PC et quelques solutions éternelles PC Pieces ? Pas des pièces de PC, mais des pièces pour PC, une musique qui revendique être passée par l’ordinateur. Laurent de Wilde joue du piano et Otisto 23 sample, tripote, triture, traite en direct ses improvisations. Il en résulte une musique méditative et fluide, dans laquelle, curieusement, l’élément de rythme prend parfois place au premier dialogue est aussi un discours sur les fonctions, les possibilités, les limites de l’ordinateur. Et, au-delà du plaisir musical, c’est un apport passionnant sur quelques questions beaucoup débattues ces dernières années. En creux, par la puissance cistercienne de leur musique, on comprend mieux pourquoi autant de musique passée par ordinateur, tant du côté de l’Ircam que chez les petits sorciers de l’électro, nous parvient aussi sèche, rêche, étique. De Wilde et Otisto 23 jouent des raideurs de leur association sans s’y laisser enfermer. On ne les entend pas buter contre les bords du cadre, ce qui demande une solide puissance d’invention et d’interaction dans la ne connais pas Otisto 23 ailleurs que par ce disque, mais je sais toute la musique dont est capable Laurent de Wilde et, s’il produit moins ici que dans ses albums de jazz, il n’est pas pour autant désailé, restreint, amoindri. Et c’est qu’il échappe à l’amoindrissement de la musique qui rend cet album si précieux avec très peu d’outils, très peu de motifs, très peu d’espace, deux musiciens produisent une musique féconde d’images et de textures mentales tout autant qu’un travail de quartet ou que la liberté absolue du piano solo. En se privant de la virtuosité au clavier, des formes habituelles de la rythmique, des figures harmoniques convenues, ce duo réinvente des solutions musicales qui font songer au Moyen-âge, des rigueurs généreuses parentes de Couperin. Des retrouvailles inattendues avec la sévérité géniale de la musique ancienne, ici et maintenant. Christophe Willem et les questions du spé-popu Conversation avec Christophe Willem, qui est tout autant jeune chanteur que toujours étudiant en communication. Nous évoquons son admiration pour Zazie et surtout la manière dont elle a su être à la fois une auteure et une musicienne d’une exigence très pointue, et conquérir un public de Bercy. Spé et popu », note-t-il. Discussion, donc, sur cette posture spé-popu dans laquelle on trouve évidemment Björk, à laquelle il ajoute Massive Attack. Une posture dont il rêve explicitement, à laquelle il ose croire franchement pour lui-même c’est appréciable, cette ambition qui ne se cache pas, cette manière d’assumer cash le chemin déjà parcouru.Il est vrai que c’est certainement une des plus novatrices singularités de notre moment culturel la facilité du plus large public à céder à des propositions réellement novatrices. Ce n’est pas très, très neuf, puisque Debut de Björk est sorti en 1993 et a aussitôt été une réussite commerciale. Mais ces quinze années ont vu beaucoup de formes audacieuses dépasser le disque de platine. Même si on peut considérer – pour peu que l’on ait plus de quarante ans – la musique de Daft Punk comme une redite mollassonne du dancefloor fin 70’s, elle vient de l’underground. On peut objecter que tous ces gens ont suffisamment de succès pour qu’on croie leur musique cousue de fil blanc, pour qu’on juge que leur réussite est le fruit d’énormes dépenses de marketing. Il reste que leur trajectoire est imprévisible, sinon dans son explosion initiale, du moins dans la dimension historique qu’elle a employer le vilain adjectif séminal, il est évident que cette capacité à susciter une suite, une descendance artistique, des conséquences culturelles est tout aussi flagrante chez un Jean-Louis Murat grand bougoniste, il me disait l’autre jour moi, je remplis à peine une Cigale, à Paris » ou un Dominique A plus conscient de son importance parce qu’elle lui est venue plus tôt dans sa vie, je crois que pour une Zazie. Simplement, on mettra plus de pudeur à reconnaitre son amour de Zazie que l’influence des deux susdits ou de Bashung, ou de Miossec puisqu’elle est un gros compte Universal. Je me souviens de Thomas Fersen en 2003, il est vrai, avant la sortie de Rodéo parlant de familles d’artistes il appariait la Tordue et les Têtes Raides, Zazie et Obispo. Voilà l’ambiguïté du spé-popu, toujours un peu suspect en raison de ses fréquentations ou de même de ses conditions d’exercice Massive Attack dilué » dans Bercy, ai-je lu une fois. Une posture riche, évidemment, mais pas forcément enviée. Daniel Lavoie, ou quelque chose de franciscain Daniel Lavoie sur scène, hier soir, après le concert de Tokio Hotel à Bercy. Contraste bienvenu entre l’énormité d’un jeu de signes tout en surface et la petite forme nue obsédée du y a chez lui le minimum de l’excentricité, de la rupture avec nos usages humains ordinaires, de la conduite fantasque seul en scène, il joue du piano en chaussettes ; il a écrit et bien écrit ses textes entre les chansons… Pour le reste, il a été béni. Des mots de force et de cœur, une poésie tout entière de fraternité, la liberté de jeter des images toujours neuves sur les meilleurs sentiments possibles. Il est au point exact entre le romantisme de Julien Clerc et le sens du verbe de Léo Ferré, tout autant enflammé que cérébral, tout autant musicien que moraliste. Si la chanson peut se parer de noblesse, c’est avec un homme tel que lui, dont j’ai dit déjà beaucoup de qualités et qui sait élever toujours ce qu’il chante à un souffle de prophète dans le contexte de son concert, Ils s’aiment trouve une cohérence assez magique. On a à peine l’impression d’un tube juste les applaudissements au début avant, après, c’est la même obsession de l’humain dans l’homme, du respect de l’univers, de la compréhension d’un ordre à nous supérieur. Ecolo ? Mieux que ça, je crois. Il y a dans ses chansons qui évoquent notre petitesse quelque chose de franciscain pour la bénignité, de calvinien pour la radicalité. Une douceur pressante, une bonté de prédicateur. D’ I Like To Move It » à Coupé décalé mania » Il est difficile de résister à la rythmique du coupé décalé, avec son temps doublé et son survoltage fervent. Mais en se faisant missionnaire, à la recherche d’un crossover lucratif, il ramène à la vieille question de la prostitution des musiques du Sud, de leur affadissement, de leur créolisation, de leur mondialisation. La compilation très promotionnée Coupé décalé mania lance en single un Coupé décalé dans la cité de Jet Set et Muss qui utilise massivement la ligne de beat d’I Like To Move It, hyper-tube dance déjà solidement amorti. Et on entend partout des emprunts au rap français, au zouk, au r’n’b, idiomes qui tous ont leur poids et leur pertinence sur les dancefloors on ne sait si la posture est celle de Kassav’ empruntant au soukouss dans An Malad Aw ou celle d’Exile One travaillant maladroitement le reggae dans sa kadans. Si nous sommes dans les mêmes processus qui font chanter la salsa aux Zaïrois et aux Sénégalais dans les années 60 ou dans ceux qui fabriquent un tango sous-tinorossien à la même époque aux Antilles… Et la question du goût n’a rien à y voir les guitares zaïroises du coupé décalé d’aujourd’hui ne sont peut-être pas seulement une survivance de l’ordre général des musiques urbaines africaines depuis trente ans ; elles sont peut-être devenues une donnée idiosyncrasique de la musique ivoirienne, comme les couleurs blues électriques sont résolument chez elles dans la chanson qui est instructif avec une telle compilation, c’est que certaines chansons semblent avouer une servilité touchante, tandis que d’autres sonnent » moins directement obséquieuses. Mais, là encore, ma perception est forcément oblique et très personnelle, selon ma propre expérience créole, ma propre culture de passionné des musiques urbaines africaines, mes propres précautions éthiques quant à l’idée de crossover… C’est dire que le débat récurrent sur la musique pour le Blanc » et la musique pour nous » n’est pas près de se clore. Un singulier portrait de Suzy Solidor Suzy Solidor a une drôle de réputation, entre son Lily Marlène qui lui a apporté de beaux ennuis et sa liberté saphique crânement assumée. On oublie volontiers sa position à l’entre-deux compliqué, quelque part entre les meilleures manières de la chanson réaliste les roulements de la voix dans Escale et un poétisme » un peu hautain de diseuse fière de l’ Pénet sort un CD d’une folle érudition sur l’art de Suzy Solidor, avec une foule d’enregistrements radio jamais entendu par quiconque a moins de cinquante ans. Dans les dialogues avec les animateurs, on est ébloui par le snobisme de son accent, par la vanité toute droite de ce qu’elle dit d’elle-même Je suis une diseuse. J’ai une grosse voix de garçon et le matin, on me dit bonjour monsieur » au téléphone. Je ne suis pas du tout une chanteuse. », par le mépris attentionné de cette époque pour l’art populaire de la chanson…Au-delà de ce portrait d’une époque, il y a une curieuse interprète, qui aborde Le Parapluie de Georges Brassens avec des gravités salonardes, La Fiancée du pirate avec des politesses inattendues, La Chambre de Léo Ferré avec des délectations toutes légères… Une sorte d’envers mondain de Juliette Gréco, qui trouve des humeurs futiles aux plus noires pages du répertoire. Outre la performance de l’exhumation de tels documents et de leur restauration, un portrait sublimement raffiné. Parler de la musique de Brassens A l’université Brassens, organisée dans le XVIIIe, à Paris, beaucoup de gens parlent et disent des choses fortes. Claude Barthélémy sort la guitare et dit de très justes choses sur la musique de Brassens. Ce n’est pas un héros de la guitare, mais un frangin, un peu comme Keith Richards. » Il parle des écarts de tessiture, comparant par exemple la petite quinte de la mélodie de Tombé pour la France d'Etienne Daho et les larges écarts de Je me suis fait tout petit. Remarque qu’il met la complexité à la portée de tout le monde. »Il pose une bonne question sur la qualité singulière de ces musiques écrites pour ne pas être arrangées, de présenter tout à fait nues ses mélodies. Il faudrait prolonger par une réflexion sur la rythmique de ses chansons, tant on sait qu’il en a travaillé beaucoup en s’accompagnant en frappant sur un bord de table. Il faudrait aussi réfléchir à la parole telle que prononcée par Brassens, à son accent tonique, à la fonction de la lenteur dans sa manière de chanter. Je me demande si ce n’est pas là qu’il y a le plus de promesses de découvertes. Charles Aznavour, fol orgueil, belle franchise Mardi soir, première d’Aznavour au Palais des Congrès. On n’y croit pas, évidemment, à cette longévité, mais il prévient au bout d’un moment que, tant que la voix va, il continuera. Le micro tremble un peu dans la main, la justesse est parfois rétive il cherchait le ton de l’Ave Maria avec un brin de nervosité, quand même et il garde une ferveur crâne et finalement assez joyeuse. J’ai beaucoup aimé qu’après Pour faire une jam, il demande à son groupe de reprendre toute la chanson avec un tempo plus vif, un tempo de gamin des années 50 – un tempo sur lequel lui-même a un peu de mal à ne pas s’ surtout, surtout, il y avait J’abdiquerai, huitième chanson du concert et suite de Je m’voyais déjà – qu’il ne chante pas, d’ailleurs. J’abdiquerai est sans doute la couronne d’un 2 décembre 1804 qu’il se pose lui-même sur la tête, le long inventaire de ses adieux, chaque adieu étant une gloire d’une carrière de légende. Comment ne pas saluer le phénoménal orgueil de ces vers-là Et s’il me reste encore un beau spectacle à faire/Un bel enterrement flatterait mon ego »… Personne ne pourrait oser parler ainsi, sauf lui, entré au Panthéon de son vivant. Quand je l’ai rencontré la semaine dernière, il avait un grand sourire sur le plaisir que lui fait la gêne de ses pairs devant cette chanson. Mais, enfin, quelqu’un a dit tout haut les plaisirs vaniteux de ce métier, a écarté les rideaux sur le rêve de se survivre. Sophie Térol, glace et feu Que sait-on faire des fantaisistes en France ? Peut-on admettre qu’une chanteuse soit avec autant de pertinence drôle et dramatique, bouffonne et romantique ? Je ne cache pas, depuis quelques années, mon enthousiasme pour Sophie Térol, dont je n’ai pas l’impression qu’elle conquiert facilement une place au soleil – plutôt une aura discrète, cantonnée aux parages de la chan est pour un mois à Kiron en début de soirée, juste avant Karim Kacel, je suis retourné la voir. Quelques nouvelles chansons et toujours l’ampleur de son incroyable grand écart l’extrême gauloiserie du refrain Il est aux waters Paulo, il a une fidèle gastro » et ses bouleversantes chansons d’amour Mais qu’est-ce donc que l’amour quand on est seul chez soi ? ». Son personnage est toujours aussi unique, entre une sorte de fureur comique qui assume toutes les dingueries gros numéro sur J’ai un zizi et la fêlure amoureuse mi-hystérique, mi-fantasmée. C’est une Barbara qui ne croirait plus au bonheur en même temps qu’une Annie Cordy qui ne voudrait pas de Broadway – une peine et un rire à la fois dans une audace d’ comment un personnage tel que celui-ci peut-il se rendre soluble dans les médias à large spectre, avec sa nuit si sombre et son soleil si radieux ? Il lui faut forcément le temps d’être glace et feu, sans espoir de jamais parvenir à la tiédeur, et tout cela est plus que difficile par les temps qui courent. Sarclo, le garçon qui crache sur les tombes Nouvel album de Sarclo. Toujours furieux, toujours tendre, quelque chose d’un bel humain. Il n’aime pas les riches, ce qui n’est pas un mauvais sentiment. Il parle beaucoup d’amour, ce qui est une saine a fait aussi une chanson c’est la plus courte, 1’47 qui dit A la mort de Pierre Bâche-Lait/Je m’ai fait une poêlée de rognons/En chantant d’un air guilleret/T’es mort. J’ai mis du citron ». Moi, j’aimais bien Pierre Bachelet. Il n’avait pas fait que des bonnes chansons. Et alors ?Je me suis demandé – connement, mais demandé quand même, puisque une chanson me posait la question – si je préfère Bachelet à Sarclo ou Sarclo à Bachelet. On demanderait Bachelet, Sarclo ou Brassens, je saurais qui ; ou alors Bachelet ou Brassens, ou alors Sarclo ou Brassens. Mais Bachelet ou Sarclo... C’est comme choisir entre steak-frites et côte de porc-frites, pile ou face, Badoit ou San rebelle et un chanteur de variétés ? Je ne pense pas que Bachelet a fait exprès de toucher le public, que Sarclo fait exprès d’écrire des chansons qui n’atteignent pas le prime time – question de conformation, d’époque, de pas de pot, peu importe après tout ; le plus grand mensonge que l’on puisse proférer dans ce métier est peu importe que je vende mille disques ou un million ».Dans l’immédiat, je suis bien content que Sarclo soit toujours vivant. Je le reverrai avec plaisir sur scène, j’ai envie qu’il sorte encore des disques. Je n’aimerais pas que quelqu’un aille cracher sur sa tombe. Je ne suis pas pressé d’écrire sa nécrologie. Au demeurant, je crois que celle que j’ai faite pour Bachelet était vraiment sincère. Johnny Hallyday, la séduction de la mesure Voici donc que Johnny ne crie pas. Nous commençons à recevoir les copies de presse du Cœur d’un homme, son nouvel album qui sortira le 12 novembre et c’est peut-être cela la première surprise un Johnny Hallyday qui adopte un chant moins expansif, moins exclamatif, moins obsessionnellement viril. Il commence à donner de la voix seulement au cinquième titre, Vous madame, après avoir pourtant traversé quelques titres dans lesquels, en d’autres temps, il aurait mis tous les vumètres dans le qu’on n’aille pas me dire que c’est parce que le concept de cet album est d’aller vers le blues classique. Mais je me souviens avoir entendu Yvan Cassar s’interroger sur le tout-à-fond-tout-le-temps de Johnny. Sur une bonne partie de cet album, c’est comme si convergeaient les idées de mesure et de sincérité. On voit bien ce qui aurait pu être fait de Que restera-t-il, chanson sans grandes ailes de Didier Golemanas on connait des albums sur lesquels seront montés de couplet en couplet une grosse escouade de cuivre et un lourd plafond de chœurs tenant les notes fortissimo, des albums sur lesquels Johnny aurait sorti la bonne grosse voix jaillie des tripes, le front en sueur et les poings serrés. Là, tout tient en un bon country-blues à peine beurré de pedal steel on retrouve ses majuscules en caractères gras ici ou là, comme dans Ma vie avec Abraham Laboriel, pour le recours constant au canon de marine ou Ce que j’ai fait de ma vie ah ben, en voilà une thématique qu’on la fréquente !. Mais on aurait pu craindre l’attaque des grosses paluches dans sa reprise de Sarbacane de Cabrel – eh non !On dirait qu’il abandonne ses habitudes au profit d’une orthodoxie dans T’aimer si mal avec Taj Mahal en guest star, il ne s’amuse pas à essayer de dominer la forme, la bonne pratique, le cliché. Au passage, ne refusons pas de goûter le texte de Marc Lévy Je vais t’haïr si bien/Que je serai fou de toi/Et coulent dans tes veines/Mon opium et ma peine/Je veux sentir ta bouche/Te coller à ma peau ». Je pense que, quand je parlais des questions d’esthétique dans la chanson française avec les étudiants du DESS à Angers, ce texte aurait très bien collé pour le module sur sens vs abstraction ». Un beau modèle de prolifération de signes sans souci de leur cohérence de détail, quelque chose qui fait penser aux évolutions des textes de Mick Jagger pour les quelques derniers albums des Rolling Stones. Clichés et abstraction, clichés et décollage des réalités tangibles. Enfin, c’est une autre histoire, mais je pourrais continuer jusqu’à demain matin.Curieusement, cet album est d’autant plus séduisant qu’il montre un Johnny dépouillé de ses séductions les plus usuelles, mais sans jamais prétendre à une originalité nouvelle. Un coup de génie, peut-être la révolution par l’ordinaire, le renouvellement par le classicisme, le retournement par le lieu commun… Joli puis une belle chanson, franchement, Chavirer les foules, de Michel Mallory Une idée forte sur un bon thème/Qui sonne bien, qui sonne actuel/Un truc qui parle de nos problèmes/De nos amours et de nos peines/En un langage universel/Ça, ça fait chavirer les foules ». Voici qui me rappelle une chanson enregistrée il y a presque quarante ans, Hit parade, pour le film Les Poneyttes, bien oublié depuis Dans un fauteuil vous êtes là/Sans problèmes et sans tracas/Moi je dois chercher déjà/La chanson qui sera dans le hit-parade … Une chanson qui devra plaire/Au public voilà l’affaire/Qui parlerait de l’amour/Désespéré sans retour ». Michel Fugain peut-il être un devin ? C’est comme un artisan qui regarde les travaux qu’on a fait chez vous qui demande Et il vous a fait payer combien ? » Conversation mercredi avec Michel Fugain, qui en vient à la condition d’artiste présent depuis quarante ans, à l’expérience de l’aîné qui voit, sous les énormes succès du moment, qui va rester et qui va disparaitre. Un regard qui ne se partage pas, affirme-t-il. Si on aime le saucisson, on ne va pas derrière voir travailler le charcutier. » Mais en revanche il peut y avoir l’œil de l’artisan et ses sous-entendus quand il regarde le boulot de son collègue…Je suis curieux de tout cela, évidemment. J’ai bien sûr des intuitions, parfois même des prédictions motivées, mais il y a toujours la part de mystère, d’imprédictibilité irréductible. Ceci dit, je pense qu’il y a toute une part de ce métier qui est transparente, qui est pour une part objectivable. Quand on est backstage ou dans les allées d’un festival avec Jean-Claude Camus ou Olivier Poubelle – qu’on peut prendre pour les symboles de deux générations de producteurs –, on entend forcément tomber des jugements lapidaires qui expliquent pourquoi ils n’ont pas voulu tourner Untel ou pourquoi ils se sont séparés d’Untel. Et il y a forcément, outre leur décision d’entrepreneur, quelque chose qui s’attache au fonctionnement général de notre société. Par exemple, sans parler de ces deux producteurs-là, je me souviens de ces deux années au cours desquelles l’énorme majorité des gros tourneurs ont bazardé leurs artistes de rap. Mouvement général, avant le backlash commercial et idéologique. Tous ces gens-là ont une compétence, des références, un savoir collectif et individuel qui peut sans doute éclairer une bonne partie des évolutions culturelles et commerciales dans le domaine des musiques où se trouve la limite ? La part d’imprévisible est-elle la même que la part d’inexplicable ? Autrement dit peut-on prévoir si Rose aura un gros succès et pas Orly Chap ? peut-on vraiment comprendre, a posteriori, pourquoi Rose et pas Orly Chap ? Evidemment, c’est là toute la question à partir de quand et jusqu’à quand ne sait-on pas ? Et quand Julien Clerc se découvre en première partie de Gilbert Bécaud à l’Olympia et qu’on voit, toujours Fugain dixit, un soleil », ne peut-on pas le voir aussi quand passe un des météores de l’époque ?Comme critique autant que comme cinglé de chanson, je me pose souvent ce genre de question peut-on voir, deviner, prédire ? Et pourquoi, quand j’avais raison sur Vincent Delerm, me suis-je trompé sur Arielle ? Et à partir de quand sait-on mieux prévoir ? Fugain peut-il être sûr de lui après quarante ans dans la chanson, ou cela fait-il quarante ans qu’il est sûr ? Le nouveau modèle économique le contre-exemple Radiohead Le nouveau modèle économique de la musique enregistrée ressemble de plus en plus au bonneteau des rues louches – le Où qu’est-y ? Où qu’est-y ? » du camelot, le chaland qui ramasse trois biftons sans rien comprendre, le comparse fébrile, la complicité tacite des spectateurs qui regardent le pigeon se faire plumer… On nous raconte beaucoup que l’on va trouver de nouvelles solutions, qu’il faut être inventif, qu’il faut briser les tabous de la vieille industrie et de ses nouveau choc Radiohead qui annonce que son prochain album sera téléchargeable à un prix librement fixé par ses acheteurs. Joli coup. Ça repart pour un tour de babil sur le nouveau modèle, sur les nouvelles ambitions, sur les défis formidables que l’époque nous propose. Où qu’est-y ? Où qu’est-y ? », encore une reste que les coups » de la nouvelle économie du disque, que les prémices ce nouveau modèle économique ont quelque chose en commun l’album de Cerrone couplé avec les téléphones Samsung premier disque d’or digital », Prince qui sacrifie les ventes en magasins en Grande-Bretagne pour mettre son CD dans un journal, Madonna qui réserve son single à un opérateur de téléphone, Paul McCartney qui sort son album dans les cafés Starbucks, Manu Chao qui vend Sibérie m’était contéee dans les kiosques à journaux… Tout cela ne concerne que des artistes qui ont explosé au temps du vieux modèle économique, qui ont imposé nom, image et back catalog à l’époque du CD vendu à la c’est peut-être ça qui rend toutes ces démonstrations peu convaincantes sans les millions de CD vendus d’OK Computer, Radiohead aurait-il cette puissance aujourd’hui ? sans trente ans de commerce du vinyle et du CD, Cerrone pourrait-il contourner les règles auxquelles il s’est si longtemps soumis ?Je me souviens des singles de Radiohead à l’époque de Kid A, sortis tous en trois ou quatre versions avec des bonus et des remixes différents, et des pochettes avec variantes selon les pays, pour tondre le fan complétiste ». Ça, c’était la belle époque du racket par le CD. Mais maintenant, Yorke parle d’un nouveau rapport avec le public. C’est gentil.On revient à la polémique David Bowie d’il y a quelques années, lorsqu’il parlait de la mort du droit d’auteur cette posture militante est-elle tenable lorsqu’il s’agit de construire une carrière, d’investir sur un pari esthétique ? Prétendre que le droit d’auteur n’a plus de sens, n’est-ce pas précisément le propos d’un artiste qui a construit sa prospérité et sa liberté artistique sur des lustres de droits d’auteur méticuleusement perçus ?Le nouveau modèle économique tel que dessiné là convaincrait s’il parvenait à fonctionner sans s’appuyer sur l’univers ancien. Mais là, on ne voit toujours rien venir qui puisse refabriquer de la richesse. Cette bonne vieille richesse qui a installé le panthéon que l’on révère, toutes générations confondues. Etienne Daho, jamais aussi bien Les critiques sérieux doivent s’abstenir d’employer les adverbes jamais et toujours. Donc n’hésitons pas jamais un disque d’Etienne Daho n’a été aussi beau que L’Invitation, qui sortira début novembre. Jamais sa voix n’a été aussi proche, jamais il n’a été aussi fièrement en apesanteur entre dépression et félicité, jamais il n’a été autant en harmonie avec l’orchestration de ses chansons David Sinclair Whitaker lui-même. On en reparlera, puis il y a avec l’album un petit disque de cinq reprises en anglais Little Bit of Rain de Fred Neil, I Can’t Escape From You d’Hank Williams, Cirrus Minor de Pink Floyd, My Girl Has Gone de Smokey Robinson, Glad to be Unhappy de Rodgers et Hart. Merveilleux accent français, choix superbe, références lettrées et étourdissantes il faut comparer son Little Bit of Rain valeureux et sensuel, avec celui de Karen Dalton, déchiré et agonisant, deux états de l’âme si opposés et révélateurs…, arrangements à des sommets de richesse. Dans l’exercice de la reprise frenchy, je crois que je n’ai jamais encore jamais ! été séduit à ce point par la cohérence et le goût d’un regard sur le bagage anglo-saxon de Broadway au prog-rock, du folk urbain à l’apogée de la soul… Nous ne sommes pas encore à Johnny Cash chantant tout ce qu’il aime dans les albums American Daho a au moins trente ans devant lui, avec son ventre plat et sa vie saine, mais il y a une sorte de souveraineté dans l’approche qui me touche beaucoup. Il semble chanter ce répertoire comme Brassens chante Mireille et Jean Nohain ou Charles Trenet, avec plus de connivence que d’engagement, plus de mémoire de soi-même que de révérence aux grands modèles, et sans rien céder nulle part à la tentation de l’imitation. Denis Cuniot, le klezmer en solitaire C’est fort agréable de revenir de temps à autre au disque Confidentiel Klezmer de Denis Cuniot. Depuis sa parution il y a quelques mois, je le reprends régulièrement pour ses mystères autant que pour ses qualités familières – l’oxymoron, d’abord, de jouer de la musique klezmer en solo au piano ; l’évidence, ensuite, d’une telle le son, il y a les médiums métalliques qui font penser à la manière dont Keith Jarrett manie aussi les ostinatos. Et il y a ces aigus grenus et envoutés, parents des Orients du qanun ou du santour. Et surtout une incroyable grammaire rythmique qui avoue tout, qui assume et revendique une identité musicale d’une virtuosité magnifique autant que d’une insondable imagine que peut-être jadis et là-bas cette musique a été jouée par un pianiste solitaire. Mais était-ce un pianiste équipé de ce matériel harmonique, de cette vision de l’espace, de cette richesse dans les approches mélodiques ? Etait-ce un pianiste qui jouait tout ensemble la musique et le désir de musique ?Autrement dit, la musique traditionnelle, la musique des musiciens routiniers, la musique des premiers jours du monde, est-elle trahie ou magnifiée par notre idée de l’interprète créateur, du musicien libre d’aller au-delà de sa culture ou de sa partition, ce qui est en l’occurrence la même démarche ?Ce que j’aime chez Denis Cuniot en solitaire, c’est justement l’exploration personnelle d’une tradition, d’un corpus collectif, d’une humeur historique. Et que cette exploration personnelle est magnifiquement respectueuse du klezmer ancien. On peut même imaginer qu’il y prend le geste originel des klezmorim sans l’urgence de la danse, de la pièce dans le chapeau, des frottements humains qui faisaient jouer russe, ukrainien ou parisien en Yiddishland. Une sorte de klezmer sans l’histoire, et dans la paix, et dans la richesse culturelle de notre siècle – celui qui en sait le plus long sur la musique. Lionel Florence et Jacques Prévert une bonne histoire Maintenant, il y a prescription. J’ai tenu ma langue pendant sept ans. Je peux donc raconter une des mes aventures préférées dans la chanson française. En 2000, sort l’album Châtelet-Les Halles de Florent Pagny. Je n’ai pas grand-chose à en dire, en fait plus de poitrail que de cœur, plus de front que de cervelle, mais des variétés solides comme on en écoute sur le Périphérique ou en attendant son sec-beurre au comptoir. Et même plutôt du charme, pour tout dire, ce truc singulier de Pagny qui cogne dans le sternum et donne envie d’acheter un pantalon de il y a sur ce disque une chanson assez forte, Un mot de Prévert. Ça dit Sur tous les frontsSur tous les mursJe ne graverai qu'un seul motSur chaque pierreDans chaque fissureSur tous les toitsDe tous les montsMoi je me ferais toujours l'échoDe la seule voixEn laquelle je croisJe saurai partout l'écrireEn braille et en versSi j'avais à retenirUn mot de Prévert ».Ça vous rappelle quelque chose ? A moi aussi. J’ai appelé l’attachée de presse qui a fait le lien avec le chef de produit, qui lui-même a fait le lien avec Lionel Florence le parolier ou Florent Pagny lui-même, je ne me souviens plus. Quelques jours plus tard, réponse la chanson Un mot de Prévert fait référence au poème Liberté, comme j’en avais le pressentiment. Oui, oui, tout le monde le connaît Sur mes cahiers d'écolierSur mon pupitre et les arbresSur le sable sur la neigeJ'écris ton nom »Evidemment, Je saurai partout l’écrire » ou Je ne graverai qu’un seul mot », c’est une allusion à cette première strophe qu’on a tous apprise à l’école. On en est bien sûr ?, ai-je demandé. Oui, oui, J’écris ton nom, liberté », bien ce n’est pas un poème de Jacques Prévert. C’est un poème de Paul Eluard. Sacré Lionel Florence.
TwitchC30killJe suis en live tout les soirs.
Sacré bleu! Supermodel, first lady, fashion plate, psychology devotee, pop and political paramour caught in grey-sweatshirted reality TV-viewing shocker! For, in a move that must be regarded as nothing short of a castration of one of the world’s most belovedly batty icons, Carla Bruni-Sarkozy has been asked by her husband’s campaign managers to normalise herself ahead of spring’s French elections. Or, as she herself might croon it “I am a butterfly / You are my junk / I roll you up and smoke you / Deadly prime-time soap opera”. First Sarko, aka President Bling, was expected to de-glam his act after his election in 2007, shedding Rolex, Ray-Bans and his habit of sneering at members of the “dumb-ass” public. Now his inamorata is being required to ditch the Dior in favour of leggings and a slobby sweater. Worse still, she debuted this image on the cover of a lowbrow TV listings magazine – rather a humiliation for the woman who once graced the covers of Vogue and arms of Eric Clapton and Mick Jagger. Indeed, she was actually holding a remote control. This most unlikely metamorphosis is naive on several counts. First off, in terms of mere practicality, if you want to appeal to the great unwashed by emulating the great unwashed, do not pick a fabulously flaky, acoustic guitar brandishing, supermodel heiress by way of consort. Recasting Bruni as a lower-middle class housewife is an insult to the intelligence of the not so dumb-ass electorate. Besides, ordinariness abounds; glamour is a pleasure in an otherwise drab world. Not least, when said world is going to hell in a handcart. Comparisons between Bruni and Marie Antoinette make an amusing diversion. The analogy was first posited in an eight-page feature by Paris weekly Point de Vue in October 2009, presenting Bruni as a daffy, multi-millionaire socialite floatily detached from the real world. Both women, the magazine argued, are famed for their love of costume and image manipulation, comparing Marie’s chosen portrait artist Louise Élisabeth Vigée Le Brun with Carla’s Annie Leibovitz. They both issued from inherited European wealth, share a love of music and performance, and similarly faddish tastes that remove them from hoi polloi norms. Albeit that Madame Sarkozy’s diet strategy renders her more “Let them eat quinoa” than cake. However, while the global economic situation may be unremittingly dire, and “monarchal” an epithet oft hurled at the presidential regime, the French public is not quite at the stage where it will go a-head-lopping. Moreover, not only do we thrill to a glitzy La Bruni, we also relish an unhinged one. She who obliviously labels the British “eccentric”, while penning lyrics regarding a room without walls, but an infinity of trees, in which she hears a harmonica. Such a heroine is a match not only for our fantasies, but for Sarko himself the diminutive, testosterone-pumped despot, who – although much satirised – operates somewhere beyond parody. With his nepotistic endeavours for the son known as “Prince Jean”, droit de seigneur-ial selecting of wives while officiating at their weddings [second wife Cécilia], habit of lashing out at “scum”, and fanciful self-insertions into historical events such as the fall of the Berlin Wall, last year’s satirical French biopic, La Conquête, about his rise to power was rivalled only by reality. Besides, from a Brit perspective, Bruni is French never mind that she was actually born in Turin. If she isn’t to be running about indulging in couture-clad nymphs-and-shepherds fantasies to her own purple-prosed, psychobabble-inspired pop anthems, then who is she? This is what we rosbifs demand of our Gauls, Gallic poster gals still more so. Let her be willowy, winsome and witchily in control of her puppet-scale spouse. Let her sing, pout and seduce her way into the history books’ more colourful pages. Let her not be compelled to slouch in her stockinged feet enslaved to the idiot box.
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Lefils de Carla Bruni-Sarkozy et de Raphaël Enthoven a fait ses débuts de mannequin, samedi 18 juin, à l'occasion d'un défilé Versace. Portrait d'un jeune homme qui a connu les affres du web
Beauté froide ou vénéneuse ? Elodie Frégé a tout de l'héroïne blonde hitchcockienne. Et le talent d'une songwriter, la guitare en bandoulière. Cette jeune femme, née le 15 février 1982 à Cosne-sur-Loire dans la Nièvre, a un véritable parcours artistique. A douze ans, elle intègre l'école de danse de Guy Tel, puis elle obtient un brevet de guitare classique et chante dans le spectacle annuel de sa ville, Nuits du Vieux Château. Un signe ? En septembre 2003, elle intègre un autre château, perdu dans la forêt de Dammarie-les-Lys, celui dans lequel se déroule la Star Academy, émission française entre télé-crochet et télé-réalité à laquelle elle participe. Le 20 décembre, celle qui semblait manquer cruellement de confiance remporte la troisième édition. Elle décide de partager les 100 000 euros de gain avec le perdant, son ami Michal. Qui est Elodie Frégé ? Son premier album, homonyme, sorti début mars 2004, n'apporte pas vraiment de réponse. Il oscille entre une variété fade le single De l'eau » et un univers plus ambigu grâce à l'une des chansons qu'elle a écrites Je te dis non ». Ce n'est sûrement pas un hasard si la réalisatrice de Romance Catherine Breillat accepte de tourner le clip. L'album sans atteindre les scores de Jenifer et de Nolwenn Leroy se vend tout de même à 140 000 exemplaires. Elodie connaît également un joli succès avec Michal grâce au titre Viens jusqu'à moi ».Rien ne dure au-dessus de la ceintureOn aurait pu l'oublier comme tant d'autres étoiles filantes de la télé-réalité. Mais Elodie retourne dans l'ombre, écrit des chansons et développe son style musical. Lors d'un concert, elle demande timidement à Benjamin Biolay d'écouter ses maquettes. L'artiste adhère et participe à l'élaboration de plusieurs titres. Le Jeu des 7 Erreurs sort en septembre 2006, précédé d'un single étonnant, La Ceinture ». Textes audacieux, musiques élégantes, Elodie Frégé séduit la critique. Elle y révèle enfin sa véritable nature artistique. Elle s'offre aussi le luxe de chanter La Fidélité », le dernier texte de Jacques Lanzmann avant sa disparition. Passé l'effet Star Academy, Elodie gagne un autre public, moins fourni, mais obtient un Disque d'or. En 2007, la chanteuse part en tournée et sort une réédition de son album avec deux inédits dont Mon sourire à l'envers». En 2010, Elodie Frégé continue sur la même voie avec La Fille de l'Après-Midi. Prévu en mai et reporté en octobre, ce troisième album aux arrangements très travaillés confirme les talents de la chanteuse qui s'est entourée de son bassiste et directeur musical Benjamin Tesquet et du producteur Jean-Philippe Verdin alias Readymade FC. Le disque révèle les singles La Fille de l'après-midi » et La Belle et la bête ». Parallèlement, Elodie Frégé tourne son premier rôle au cinéma dans le film Potiche de François Ozon où elle joue Catherine Deneuve jeune. L'album suivant enregistré à Miami avec Marc Collin Nouvelle Vague dévoile dix nouvelles chansons érotico-chic » dont le premier extrait Comment t'appeles-tu ce matin ? » et deux reprises une de Gainsbourg, l'autre Tu veux ou tu veux pas » sur des rythmes latins de bossa nova et de tango.
CarlaBruni chez les poètes (et surtout chez René Char) Tout l'été dans "Derrière nos voix", nous rencontrons huit artistes majeurs de la
Créé en 1951, le Festival de San Remo est une institution en Italie. Concours de chant et émission de variétés à gros budget, le festival réunit chaque année des millions d'Italiens devant leur télévision qui le préfèrent au concours de l'Eurovision. Trois ans après avoir fait faux bond aux organisateurs, Carla Bruni s'est présentée jeudi 13 février sur la scène du Teatro Ariston pour présenter son nouveau single et plus encore... Pour l'édition 2010 du célèbre festival, Carla Bruni avait déclaré forfait. Ce désistement faisait couler beaucoup d'encre des deux côtés des Alpes, certains évoquaient même l'hypothèse d'un veto présidentiel une chanson humoristique de Simone Cristicchi prenant Carla et Nicolas Sarkozy pour cibles aurait déclenché la colère de la chanteuse ou celle de l'Élysée. Carla Bruni démentait auprès du Corriere della Sera avoir annulé sa participation en raison de cette chanson et avançait "des engagements officiels et personnels". Trois ans après ce rendez-vous manqué, Carla Bruni s'est donc rendue au Festival de San Remo animé par Fabio Fazzi et l'humoriste Luciana Littizzetto. Très classique dans son tailleur pantalon, Carla Bruni a chanté en toute simplicité son titre aux accents cubains, Chez Keith et Anita, premier extrait de son nouvel album intitulé Little French Songs, le 1er avril dans les bacs. Et Carla n'en est pas restée là, jouant le jeu de l'autodérision, la belle a accepté d'accompagner à la guitare l'animatrice Luciana Littizzetto quand elle s'est lancée dans une parodie de Quelqu'un m'a dit sur le thème de l'ex-première dame. Visiblement amusée, Carla l'a accompagnée jusqu'au bout. Ce mercredi, Carla Bruni n'était pas le seul mannequin sur la scène du San Remo. Le top model israélien Bar Refaeli était l'atout charme du jour. La belle, égérie Passionata et créatrice de la marque a offert un défilé de robes de soirées sacrément kitsch et une démonstration de ses talents de batteuses. Voirle diaporama. Ce samedi 21 mai, Carla Bruni a fait une apparition très remarquée sur le tapis rouge du Festival de Cannes. L'ancienne mannequin a attiré tous les regards lors de la montée

Publié le 17/05/2011 à 0934 Modifié le 12/12/2016 à 2215 Fille d’une pianiste concertiste et d’un compositeur d’opéra, née dans la patrie de Verdi et vivant sous le ciel de Debussy, Carla Bruni-Sarkozy a étudié le violon, la guitare, le violoncelle avant de devenir auteur-compositeur-interprète, puis première dame de France. La première fois que je l’ai rencontrée, c’était à l’occasion du premier concert que Radio Classique a organisé à l’hôpital de la Pitié-Salpétrière, en association avec la Fondation Carla-Bruni-Sarkozy pour la culture. Brigitte Engerer y avait donné un magnifique récital, que j’avais eu l’honneur de présenter, devant une foule de malades, leur famille et le personnel soignant. Ce fut un moment de grâce, de ces moments forts dans la vie où l’on prend conscience qu’on n’exerce pas seulement un métier, mais qu’on a une mission d’aller vers les autres et de leur apporter ce qu’il y a de plus beau. Carla Bruni-Sarkozy m’a parue véritablement investie dans sa fondation qui lutte contre l’illettrisme et qui a pour vocation de faire découvrir la musique à ceux qui en sont privés. Radio Classique s’est ensuite rendue en prison, dans la banlieue de Lille, avec Jean-Claude Casadesus. Les détenus ont été touchés par le concert on entendait une mouche voler, mais également par le respect et la considération que leur portaient les musiciens ne serait-ce que de se présenter en habit devant eux et de jouer avec la même perfection que s’ils avaient été à la salle Pleyel. Puis nous sommes allés à Aix-en-Provence pour capter le concert de l’Orchestre Les Siècles, dirigé et animé par François-Xavier Roth, qui ont joué avec quatre-vingts enfants de quartiers difficiles, qui ont appris un instrument sans lire la musique, grâce à l’association A toi de Jouer. Ces enfants ont découvert la musique classique de manière intuitive et sensible. Ils ne la considéreront plus jamais comme une chose lointaine, élitiste, bourgeoise, mais comme un monde d’émotions palpables. Dimanche dernier, nous étions toujours en association avec la Fondation Carla-Bruni-Sarkozy à la maison de retraite Lasserre d’Issy-les-Moulineaux. Le Quatuor Modigliani a joué Haydn, Debussy, Mendelssohn et Chostakovitch devant des personnes âgées la doyenne a cent trois ans qui ont été profondément émues le concert sera bientôt diffusé sur Radio Classique. Tout le monde était là bénévolement. A la fin du concert, une dame m’a dit cette belle phrase d’un cancérologue Quand on ne peut plus ajouter de jours à la vie, il faut mettre de la vie dans les jours. » Voici le programme de Carla pour Passion Classique Madeleines Lady Lay de Bob Dylan Une petite cantate de Barbara Don’t explain de Billie Holiday Programme La plus que lente de Claude Debussy Valse en la mineur op. posth. de Chopin La ci darem la mano » Don Giovanni de Mozart Kindertotenlieder n° 3 de Mahler K. Ferrier La vie Marche turque de Mozart La mort Ave Maria de Schubert L’amour Rêve d’amour de Liszt

Lamarque de mode/accessoires Tommy Hilfiger lançait le 1er novembre dernier, une édition limitée de sacs appellés pour l’occasion les “Carla Bruni”, crées au profit du Breast Health Institute. Nons contents que depuis, elle est devenue la Première dame et surtout, la coqueluche des médias (malheureusement pour leur attachée de

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Quil ne nous donne rien, et qu'il nous promet tout, A E. Paraît que le bonheur est à portée de main, F#m Dsus2. Alors on tend la main et on se retrouve fou. A E F#m Dsus2. Pourtant quelqu'un m'a dit que tu m'aimais encore, A E F#m Dsus2. 01 Écoutez les oiseauxToute la musique vient des savent comme elle doit sonner et d'où elle doit les colibris. Ils volent très vite, la plupart du temps pour aller nulle Votre guitare n'est pas vraiment une guitareVotre guitare est une baguette de pour invoquer des esprits dans l'autre monde et les faire guitare est également une canne à vous êtes bon, vous hameçonnerez du Jouez devant un buissonAttendez que la lune se lève puis sortez, mangez un quignon de pain completet jouez de votre guitare devant le le buisson ne remue pas, mangez un autre morceau de Marchez avec le diableLes vieux bluesmen du Delta appelaient leur ampli une "boîte du diable".Ils avaient raison. Vous devez être un employeur qui ne fait pas de discriminationà l'embauche quand vous ramenez quelqu'un de l'autre attire les démons. Chaque instrument attire ses guitare acoustique attire Casper. une mandoline attire une guitare électrique attire Si vous êtes coupable de penser, vous êtes viréSi votre cerveau intervient dans le processus, vous êtes en train de rater le faut essayer de jouer comme un type en train de se noyer et qui lutte pour atteindre le vous réussissez à choper ce feeling, vous êtes Ne pointez jamais votre guitare vers quelqu'unVotre instrument a plus de pouvoir que la résonner un énorme accord et précipitez vous dehors écouter ce qui se que vous n'êtes pas dans un champ trop Ayez toujours un décapsuleur sur vousC'est la clause la plus importante du contrat, celle qui vous permet de jouer avec qui vous String Sam, par un musicien de rue à Detroit qui jouait d'un instrument qu'il avait bricolé chanson "I Need A Hundred Dollars" est un Sumlin, le guitariste de Howlin'Wolf, est un autre se tient là, comme la Statue de la Liberté,et vous donne envie de regarder sous sa robe pour voir comment il N'essuyez pas la sueur de votre instrumentVous devez laisser votre puanteur est même indispensable de mettre cette puanteur dans votre Laissez votre guitare dans un lieu sombreQuand vous n'en jouez pas, couvrez votre guitare et gardez-la dans un endroit vous n'en jouez pas pendant plus d'une journée n'oubliez pas de lui laisser une écuelle d' Vous devez avoir un capot sur votre moteurN'enlevez pas votre chapeau. Un chapeau est une vous avez un toit sur votre maison, l'air chaud ne peut pas s'en un flageolet doit être enroulé dans du papier humide pour Van Vliet, dit Captain Beefheart 15 janvier 1941 - 17 décembre 2010 ZTH9S.